A l’hôtel et un et deux et trois !

Cette semaine, j’étais en déplacement pour mon boulot. Je m’étais donc activé à passer une annonce sur Vivastreet  « Lope passive s’offre à l’hôtel… » afin d’obtenir quelques rendez-vous pour une soirée à mon hôtel.

La soirée tant attendue fut arrivée…

waloou_024Un premier homme est arrivé sur le coup de 19h30; un jeune mec assez baraqué. Après être entré dans la chambre, je me suis allongé, il s’est déshabillé entièrement puis, debout, me tendit sa queue qui bandait déjà en me disant « Mets toi à genoux et suces moi salope … ». Je  m’exécutais, je saisissais sa queue, la décalottait ; le méat est rouge, le gland luisait, gros, plein de sang. Sa queue grossissait, se tendait, se dressait, je la suçais longtemps à genoux, mon autre main sur ses fesses et caressait, les doigts prêts à filer dans la fente. Je bandais aussi  (un exploit !), et soudain il a pressé ma tête contre son sexe pour m’envoyer une pleine gorgée de sperme que j’ai rapidement avalé… Il m’a alors demandé de m’allonger, s’est allongé à coté de moi et m’a redonné sa bite à sucer… J’ai bien évidemment recommencé à pomper cette belle queue qui rebandait déjà… Ça n’a pas duré bien longtemps non plus avant que, à nouveau, il éjacule dans ma bouche en disant « Allez, avales encore, salope … ». Ce que je réalisais avec grand plaisir. Il s’est rhabillé, m’a demandé si j’avais aimé et il a filé…

J’avais une petite demi-heure à tuer avant l’arrivée d’un second rencart. A son arrivée, il s’est déshabillé et est venu à coté de moi. Aussitôt et sans même qu’il bande vraiment, il voulait que je le suce… J’ai compris pourquoi car dans les quelques instants qui ont suivis son sperme  envahissait ma bouche !  Moins de deux minutes, il était temps qu’il arrive…, un peu plus il faisait dans le pantalon avant d’arriver, enfin, il m’a dit que la prochaine fois il ferait mieux.

Moins d’une heure plus tard, j’avais un autre rencard… qui s’est pointé. Un beau brun la quarantaine passée qui me mit sa main direct au cul, il éteignit la lumière et dans la pénombre je m’étais même pas encore penché pour sucer sa bite, qu’il pointait ma rondelle avec un doigt, la transperçait. Sa bite était très raide, assez large à la base, circoncise. Quand je l’ai eu bien pompé et que je me suis retourné, il a mis une capote et il m’a enfilé tout en une fois, jusqu’à ses burnes, puis a commencé à me baiser à grands coups de reins. Il me bourrinait, ce n’était pas du grand art mais les coups étaient bien plantés, et je sentais ses burnes taper contre mes fesses…  ses mains douces qui pendant ce temps caressaient mon torse, s’arrêtaient à mes seins, comme un mec baise une femme par derrière en la tenant par les nichons.

Au bout d’un long moment il se retourna et engouffrait sa bite dans ma bouche. Il me baisait la gueule et jutait dedans une dose tellement copieuse qu’à un moment je n’en pu plus : « s’il continue de cracher je vais le dégueuler… ». Et il continue. Alors, pour évacuer ce trop-plein de foutre, j’avalais, j’avalais au fur et à mesure qu’il me remplissait. Un bon jus épais et chaud qui dégoulinait de ma bouche, sa bite coulissait dans ma bouche poisseuse, ma langue chaude et humide sur le gland, son sperme et ma salive, ma déglutition.

Que c’est bon d’être une vraie salope vide couilles.

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