En une rare journée ensoleillée de ce pourri mois de mai, j’avais envie de bites, je décidais d’aller dans un bois bien connu de la région parisienne de par son activité.
En fin d’après midi, après mon taf, je pris une bonne douche, un bon lavement et je glissais dans le sphincter anal un peu de gel pour bien me préparer l’anus. Je m’habillais en bonne lopette, histoire d’exciter au mieux la gente masculine qui serait présente sur les lieux.
J’enfilais une petite culotte rose, une mini jupe noire, une tunique, des bas noirs, mes bottes à gros talons (c’est plus facile pour marcher dans les sous-bois) et un jogging par-dessus pour sortir et faire le trajet discrètement.
J’arrivais sur place, il était à peut prêt 18h, il faisait encore jour, des voitures étaient déjà présentes. Je gare ma voiture sur le petit parking, jette un œil; quelques hommes faisaient des aller et venues dans les allées et les sous-bois.
J’ôtais donc mon jogging et descendait de la voiture, marchait en direction de la petite colline ou j’avais décidé d’aller m’installer.
En chemin je sentais que j’étais suivi, ce qui me ravissait et m’inquiétait un peu, c’était un sentiment étrange. Arrivé sur la petite colline, je me mis à genou sur un drap de bain que j’étalais dans l’herbe. J’étais observé et les voyeurs sortaient leurs queues et commençaient à se l’astiquer.
Je fis un signe pour qu’un mec ose venir vers moi, et en moins de deux minutes ils étaient deux ; puis trois autour de moi à me tendre leur bite à sucer.
Ca m’excitait de plus en plus. Les mecs plus loin continuaient de se branler et moi je suçais à tour de rôle les trois zobs. Un des trois mecs ôtait ma culotte et commençait à me toucher ma petite bite qui mouillait déjà bien et me l’englouti en bouche; c’était très doux et j’étais obligé de le freiner un peu, sinon j’allais jouir très vite.
Entre temps, d’autres voyeurs se sont rapprochés et un d’eux voulu me baiser à 4 pattes, offert à la vue des vicieux. Je me sentais totalement impudique et j’adorais ça… Après m’avoir ouvert le cul et y avoir inséré plusieurs doigts, qu’il faufilait bien partout, il mit un préservatif et me rentrait son pieu comme dans du beurre, tant j’étais excité de cette situation en plein air. Il commençait par de grands mouvements lents qui s’accéléraient progressivement.
Les voyeurs se sont un peu rapprochés, la nuit n’était plus très loin. Je les voyais se masturber frénétiquement, puis ils se le faisaient mutuellement.
J’entendais des mecs crier « Défonce-là, bourre son cul, baise la salope ».
L’homme derrière moi me baisait de plus en plus fort. Il haletait, je sentais qu’il allait cracher son foutre, et moi je suçais, branlais tant que je pouvais les deux, trois ou quatre queues présentes. L’une d’eux m’explosait son jus épais en pleine bouche et je sentais que l’homme derrière moi déchargeait sa semence dans la capote.
Il se retirait, jetait la capote et me présentait son membre pour que je le nettoie des restes de sperme. Un autre que je suçais pris le relais mais en m’allongeant sur le dos… Je relevais et écartais bien les jambes, la chatte anale bien offerte. Il enfilait une capote et plantait son pieu dans mon intimité luisante et chaude. Ses coups de boutoir de plus en plus rapide massaient ma prostate ce qui me faisait jouir du fion, un filet de liquide séminal coulait de ma queue molle.
J’entendais des mecs dire : « elle jouit, la salope, elle aime la baise, elle aime la bite, ça se voit ! »
Dans cette position il était difficile de bien sucer les queues qui se présentaient, les mecs se branlaient sur ma tronche, tantôt l’un ou l’autre me baisait la bouche.
L’homme en missionnaire ne tardait pas à jouir en moi en longues saccades, et presqu’en même temps les autres queues se vidangeaient sur mon visage.
Après avoir repris mes esprits, je rassemble les restes de sperme en passant ma main sur mon visage, et en léchant mes doigts avec délectation.
Un des voyeurs au loin s’était rapproché en se masturbant et voulait se finir sur mes fesses que je lui tendais. Après quelques râles je sentis des petites giclées chaudes sur mon sillon anal. Les autres voyeurs avaient déjà déchargés leur foutre au sol ou ailleurs.
Je remis ma culotte et en repartant vers ma voiture, je sentais le sperme coller le nylon sur mes fesses… Agréable sensation de cette fin d’après midi.
Hummmmmmm chérie adorée quand j’habitais Paris j’allais souvent au Bois de Boulogne où plus d’une centaine de mâles m’ont baisés ma chatte et ma bouche. Ce que j’ai pu en boire du foutre. Et pour en boire encore plus j’allais piquer les capotes des Dames du bois pour les vider dans ma bouche de salope.
Bisessssssssssssssssssssssssssss