Baise dans les chiottes de l’hôpital

Suite à une annonce passée sur un site de cul, je reçois un email d’un homme me demandant mes disponibilités. Je lui réponds que je suis disponible généralement en fin d’après-midi après mon travail, ou bien en soirée ou bien certains week-ends.

waloou_001Il me répond, qu’il peut se libérer en matinée le dimanche et me fixe un rendez-vous dans le parc d’un hôpital parisien. J’ai trouvé le lieu un peu spécial, mais comme je suis assez exhib, certains lieux publics m’excitent énormément. De plus cet homme me parait être assez directifs et ce n’est pas pour me déplaire, au contraire.

Le dimanche matin, j’arrive au point de rendez-vous, il est là.

C’est un homme la petite quarantaine bien bâti, en blouse blanche. Après quelques échanges il m’invite à le suivre. Nous traversons quelques allées, divers couloirs, jusqu’à arriver sur une salle d’attente vide. De cette salle, un dernier couloir nous mène à deux toilettes. Il me dit d’aller dans celle de fond et l’homme me suit. Il ferme le loquet de la porte derrière nous, j’observe le lieu, c’est une toilette assez grande avec un petit lave-main contre le mur.

L’homme ôte sa blouse et baisse son pantalon. Ouah !! Sa bite est énorme, il bande déjà bien dur. Il m’ordonne de me déshabiller et de ne garder que mon string rose, ce que je m’empresse de faire rapidement tout en matant cette belle bite qui allait me défoncer le cul.

Je me penche sur cette longue et grosse bite super raide avec des couilles bien pendantes que je malaxe, l’homme me met directement un doigt dans le cul. Je me penche en avant pour lui faciliter le passage, puis un deuxième doigt et un troisième doigt viennent accompagner le premier doigt au fond de mon cul. Il écarte les doigts pour parfaire le passage ; entre nous mon cul se dilate assez bien et il n’a aucune difficulté pour s’introduire de se coté là.

waloou_002Je suce sa bite en faisant tourner ma langue autour de son gland épais, titille le méat. Je tète à fond sa bite qui tape dans ma luette en fond de gorge. Je sens qu’il apprécie cette pipe car ses doigts font des va-et-vient de plus en plus rapide dans mon trou.

D’un coup, il me dit « Tu m’as bien excité, j’ai envie de te la mettre dans le cul ». Je me retourne et me met en levrette sur le couvercle baissé des chiottes. Il enfonce sa bite d’un coup sec bien au fond de mon cul, déjà bien mouillé après la fouille de mon rectum. L’homme se met à me baiser sans ménagement en me tenant par les hanches jusqu’au moment où je sens plusieurs contractions qui signalent les giclées de sperme qui inondent mon rectum.

L’homme sort sa bite luisante et la vue du sperme chaud qui dégouline de mon trou vers mes couilles l’excite toujours autant. Je sens ses doigts s’introduire entre mes fesses et forcer un peu le passage de mes sphincters. Ça y est sa main est avalée entièrement par mon cul. Je suis en transe, le mélange de mouille avec son sperme graisse parfaitement mon trou et l’homme se met à me fister allégrement pendant encore un moment.

Après il me fait lécher sa main et relève son pantalon. Il sort des toilettes pendant que je me  rhabille. Après être sorti à mon tour, en marchant en direction de la cafétéria de l’hôpital pour aller me rafraichir, mon cul endolori me rappelle ce que je viens de vivre.

Gang bang dans un sex-shop

Je veux vous faire part de ma dernière expérience de pluralité masculine. Elle se passe dans un sex-shop de la capitale où je m’offre en lope soumise et docile à des inconnus. C’est un sex-shop connu par son esprit d’ouverture pas très loin d’une tour. Le soir venu, sur les coups de 18h, je me présente à l’entrée, passe un « bonjour » au patron, très sympa d’ailleurs, je file au fond de la pièce et m’engage dans l’escalier en colimaçon qui descend au sous-sol. A droite, il y a deux cabines assez spacieuses (3 places) et un WC, à gauche un couloir et des cabines des deux côtés. C’est une heure de grande affluence, beaucoup de parisiens passent par-là après le travail. J’entre dans une cabine libre (j’ai dû attendre 10 minutes), allume la lumière et ferme le loquet de la porte derrière moi.

J’enlève mes vêtements de mecs pour ne plus porter que les dessous préalablement enfilés : un soutien-gorge noir seins nus, un porte jarretelle noir avec des bas résilles, un string rose fluo, une minijupe en vinyle noire. Je complète ma tenue en ajustant ma perruque brune, j’enfile mes escarpins noirs et un coup de rouge à lèvre pour apporter la touche finale. Me voilà travestie soumise et sexy. Je range mes vêtements de mec dans mon sac à dos.

Les fesses de la lope Waloou

Déjà toute excitée par l’ambiance, je mets ma carte pour visualiser un film de travestis, éteint la lumière, et entrouvre légèrement la porte de la cabine. Le couloir est éclairé, du monde passe et je sais que rapidement des mecs vont jeter un œil à l’intérieur de la cabine. Je m’assieds dans le fauteuil devant l’écran de télévision et patiente en matant le film.

Des mecs passent, jettent un regard à l’intérieur de la cabine… Un premier candidat, la cinquantaine, passe plusieurs fois. Je lui fais signe d’entrer, ce qu’il fait rapidement. Il baisse sa braguette, sort sa queue qui bande déjà fort et me la présente à sucer. Je m’exécute, je suis là pour ça, et commence à le pomper en restant assise dans le fauteuil. J’aperçois du coin de l’œil un deuxième candidat, la quarantaine un peu ventru. Je me lève pour lui donner un accès plus facile à ma personne. Il me caresse les fesses après avoir remonté ma jupe. Je me laisse faire car je suis trop occupé à sucer le premier. Je sens que l’homme derrière moi à envie de me baiser, du coup je vais aussi le prendre en bouche pour l’exciter. J’alterne entre la queue du premier et la queue du second que j’engouffre à pleine bouche. Je lui mets une capote et le laisse retourner derrière moi pendant que je reprends le premier en bouche, qui ne tardera pas à cracher tout son jus au fond de ma gorge au rythme des va et vient entre mes fesses du second. Son ventre martèlera mes fesses de plus en plus rapidement jusqu’à l’explosion. Il a dû me limer 5 minutes avant de tout cracher son jus dans la capote. Des voyeurs sont là sur le pas de la porte, la bite à la main, et dès qu’une place se libère, je me retrouve rapidement avec une bite dans la bouche, des doigts qui me fouillent le cul ou des mains qui me claquent les fesses avec plus ou moins de douceur.

Je suis de plus en plus excitée et je me retrouve assez rapidement avec trois queues différentes à sucer. Ma bouche est occupée à 100%, j’adore ça, quel plaisir d’avoir plusieurs hommes, sentir les mains me caresser sur tout le corps. L’un des trois que je suce me donne du poppers, il en sniffe aussi, puis met une capote et se positionne derrière moi pour me baiser, je mouille du cul tellement je suis excitée. Je suis d’ailleurs toute trempée, il commence à faire très chaud dans cette cabine. Les deux hommes que je suce finissent par gicler sur mon visage. Pendant ce temps l’homme de derrière me baise toujours, il a très chaud à force de me pilonner, et il décide de changer de position. Il s’assoit sur le fauteuil et moi je viens m’empaler sur sa queue, et je rythme les va et viens. J’ai chaud, j’ai du sperme qui dégouline de mon visage, j’essaie d’en avaler une goutte au passage. Nous resterons encore comme ça un quart d’heure avant qu’un râle assez fort de mon amant m’informe qu’il jouit. Je resserre mes sphincters pour qu’il se vide bien à fond. Il reprend ses esprits, « au revoir et merci » et s’en va. Je m’essuie le visage et me rafraichit un peu.

Dans l’heure qui suit, je suce encore trois autres hommes dont un qui m’a fisté en douceur. D’ailleurs si tu te reconnais j’aimerais bien recommencer cette séance de fisting.

J’ai hâte de recommencer cette expérience que je conseille à toutes les lopes travesties comme moi.

Lope à l’abattage dans un foyer

L’idée de me faire prendre à la chaine m’excite beaucoup, mais comment organiser un vrai plan abattage en toute sécurité ?

J’ai déjà essayé d’organiser ce type de plan dans une chambre d’hôtel, mais j’ai toujours eu un résultat assez mitigé ; sur la totalité des participants qui m’ont promit de venir me baiser, il n’y en a à peine un quart qui passent me réchauffer les orifices… Les attentes entre les participants sont bien longues.

Je me décide donc de passer un message sur un site de petites annonces, « vivastreet » pour ne pas le citer, afin de trouver un maître pour l’organisation d’un plan abattage.

Voici le message passé : 

Lope recherche un partenaire spécial

Je recherche uniquement une personne capable d’organiser abattage, gang bang, bukkake, les autres vous pouvez zapper.
Une chaude lope ronde de 49 ans (1m75 pour 90kgs) s’offre comme femelle docile pour plans culs hard sans tabous sauf brutalité.
J’adore les saillies à la chaine, le pompage avec arrosage, le travail de la chatte et des tétons, les fessées, l’uro, faire photos et vidéos en action.
Disponible en soirée en semaine, je cherche une personne sérieuse (pas un dingue et amateur).
Contact impératif par tél, impératif pour mettre au point le plan, le scenario, les limites.
Je le répète, plutôt deux fois qu’une, je recherche une personne sérieuse, je cherche du réel; les mythos, les amateurs d’un simple plan cul à deux, passez votre chemin.

Bisous

Parmi  toutes les réponses plus ou moins farfelues reçues, je n’ai surement pas été assez clair dans mon annonce, une réponse attire mon attention :

« … Un maitre connu sur la place organise plan abattage, etc … »

J’entre en contact avec lui, le feeling passe très bien, son sérieux et des garanties sur ses soirées m’ont été fournies, et après avoir mesuré le pour et le contre de son scénario, il m’a convaincu.

Sa proposition est de m’emmener dans un foyer pour me faire prendre à la chaine. Il faut que je sois épilé, une perruque cheveux longs, maquillé, string ficelle, bas résille et hauts talons, le reste n’a pas d’importance car là ou il va m’emmener, les mecs sont excités rien qu’à la vue d’un look bien pute.

Le soir tant attendu arrive, le rendez-vous est fixé à 20 heures boulevard Mac Donald. Je gare ma voiture et attend tranquillement à l’intérieur, un peu tendu mais très excité.
Je repère la voiture de mon maître, quitte ma voiture et monte dans la sienne à coté de lui.

Pendant qu’on roule vers un foyer en banlieue, mon maître me dit de le laisser faire à l’entrée, qu’il connait bien les vigiles qui vont nous laisser entrer.
On arrive devant un foyer de migrants africains. On entre, on va saluer les deux vigiles au rdc et on prend l’ascenseur pour le 4e étage, le dernier. Là on prend un couloir et au bout il y a une chambre qui est pour moi.

Devant la chambre il y a déjà  5 ou 6 africains sénégalais ou maliens qui attendent assis sur une chaise. Je me dis que s’ils attendent pour moi, ça va être assez sportif. On entre dans la chambre, je sors ma boite de 12 capotes et mon tube de gel, mais mon maître sort une boite encore plus grosse, de 50 capotes. Puis il sort et me dit que c’est parti.

Vite je me mets à l’aise et me passe deux doigts de gel dans le cul. Je suis encore en train de me l’étaler que le premier mec entre. Il baisse son pantalon et sort sa queue sans dire un mot, moi je me mets en levrette sur le petit lit et je lui montre bien mon cul pendant qu’il enfile sa capote. Il écarte la ficelle de mon string, puis il me baise tranquillement. Et comme ça pendant à peu près deux heures les africains se succèdent dans la chambre. Des fois je n’ai même pas le temps d’aller au lavabo me passer un peu d’eau pour me rafraichir. Ils jouissent tous dans leur capote. Et la file d’attente ne diminue pas devant la chambre. Certains mecs durent très peu et jouissent très rapidement, d’autres donnent des coups de reins assez forts, je sens leur queue taper au fond. Je les prends toujours en levrette en écartant bien les fesses.
Sur le coup de 22 heures, ça se complique un peu parce que les deux vigiles montent et demandent à tirer un coup eux-aussi. Ils baissent leurs pantalons et l’un des deux m’introduit sa queue dans la bouche et commence à me baiser méthodiquement, comme si c’était une chatte. L’autre me plante sa queue bien à fond dans mon cul. Il me dit que mon cul est ouvert comme une cuvette de chiottes.  Je le sens mettre du gel et y introduire en même temps 3 ou 4 doigts, et se met à me défoncer le cul. Il sort et re-rentre plusieurs fois de suite.

Ça dure comme ça pendant 20 minutes.
A la fin, celui qui est dans ma bouche y éjacule bien au fond sans se retirer. Je ne peux rien faire, je sens sa giclée couler dans ma gorge. L’autre un peu après sort de mon cul et enlève sa capote et me jouit sur les fesses.
Après ils sortent de la chambre et je prends le temps de me rincer. Puis je reprends le rythme pendant encore à peu près deux heures.

A la fin, mon maître me dit que je me suis enfilé 27 queues. On s’en va avant le changement de garde des vigiles. Il me ramène à ma voiture et je rentre chez moi, le cul et le bas ventre bien endolori.