Sa queue et mon cul … une belle histoire

Je vais vous raconter cette histoire car j’ai toujours un énorme plaisir à rencontrer cet amant qui en est le personnage clé. Je peux vous dire que c’est un fidèle et que je suis accro à sa queue et qu’il est accro à ma chatte.

Au fil de mes rencontres, j’ai rencontré Marc; je vais l’appeler Marc mais ce n’est pas son véritable prénom, je souhaite rester discret car cet homme et marié et père.

Marc est un bel homme qui sent toujours bon, maintenant la cinquantaine, 1m80 environ, cheveux gris coupés très courts, un torse velu, une queue dans la moyenne supérieure et très endurante. Il vit dans une belle région du sud de la France.

Pour son travail, il vient régulièrement sur Paris, et dès qu’il réserve sa chambre, il m’envoie un texto pour bloquer une soirée à deux. C’est à chaque fois une excitation grandissante jusqu’à cette soirée.

Quand je viens rendre visite à Marc, on garde toujours le même rituel pour garder cette magie d’une rencontre sans qu’il me voit en homme. Une fois sur place devant sa chambre, je frappe à sa porte, il entrouvre la porte et m’invite à me faufiler directement dans la salle de bains sans que l’on puisse se regarder.

Je me prépare tranquillement, me maquille, ajuste ma perruque, me parfume pour me présenter à lui en bonne chienne à baiser.

Pendant ce temps, Marc boit une bière et se met à son aise sur le lit et s’allonge sur le dos.

Quand je sors de la salle de bains et vient rejoindre Marc sur le lit, il m’embrasse… Nous échangeons des baisers, lèvres et langues.

Je commence à caresser son torse, ses couilles, sa queue qui ne tarde jamais longtemps à durcir, puis ma bouche, mes lèvres s’occupent de ses tétons et descendent s’occuper de son biberon qui est toujours très agréable en bouche. Je n’oublie pas ses couilles que je gobe délicatement et que je roule doucement sous ma langue et son anus que je lèche avec ma langue.

Marc se laisse faire, il se détend …

Pendant que je le biberonne bien délicatement, Marc me caresse et me titille les tétons, mes seins sont à lui, il aime aussi m’introduire un doigt, puis deux, trois, etc … Il me claque les fesses, ce qui à tendance à m’exciter encore plus.

Dès qu’il est bien dur, je me mets en levrette devant lui, croupe bien relevée, genoux repliés sous moi, Marc avance sa queue, et l’introduis entre mes fesses dans ma chatte anale, déjà bien humide d’excitation et très chaude. Sa queue s’enfonce lentement bien à fond. Il entreprend des vas et viens lents, je contracte mes sphincters anaux pour lui procurer un massage de sa queue des plus experts. Sa queue s’enfonce jusqu’à la garde et il rythme les vas et viens à sa guise. Il se détend totalement, ferme les yeux, il se laisse aller, et nous profitons pleinement de cet instant de bonheur sexuel. Ce moment dure un long moment …

Puis Marc accélère les vas et viens jusqu’à ce qu’il se lâche totalement. Ses giclées de foutre envahissent mon bas ventre, c’est ici mon moment de vrai plaisir, le sentir et l’entendre jouir. Je resserre mon fourreau anal pour extraire de sa queue les dernières goûtes de jus chaud.

Je reprend le biberon de Marc en bouche jusqu’à ce que Marc sente monter une envie de pisser. A ce moment là,  il se met debout sur le bord du lit, et je lui présente mes fesses.

Il remet sa queue dans ma chatte anale, je contracte à nouveau mes sphincters anaux , et un long jet puissant de pisse chaude envahit à nouveau mon bas ventre, c’est encore un long moment de vrai plaisir pour moi que de sentir mon rectum se remplir de liquide chaud.

Une fois la miction terminée, Marc se retire prudemment de ma chatte et me tend un récipient que je glisse sous mon trou en position accroupie. Ce sera ma récompense finale. Je lâche doucement tout ce mélange de foutre et de pisse qu’il m’a inséminé.

Marc ne perd pas une miette de ce spectacle et ne tarde pas à remettre une nouvelle dose de foutre dans le récipient. Une fois la chatte bien vidée, j’amène ce récipient à mes lèvres et je déguste avec délectation cette liqueur.

Marc me dit « Tu sais que tu es bonne ma salope !! ».

Je hoche la tête en lui souriant et il sourit aussi.

 

Des bites au sauna

Dans une petite ville de province, un mercredi après-midi ou je peux me libérer de mon travail, je pars me détendre dans un sauna gay.
Après avoir payé les 21€ et récupéré une clé et une serviette, direction le vestiaire pour me libérer de  mes vêtements troqués contre une serviette que je noue autour de ma taille.
Découverte des lieux : Il y a un hammam, deux saunas secs, un jacuzzi, des cabines privées, des compartiments à glory-hole, une backroom, des emplacements sombres dans les couloirs et une petite pièce avec des canapés et un grand écran ou passe une vidéo porno, bref l’équipement que devrait avoir n’importe quel sauna.
Une bonne douche, et préparation de l’anus avec du gel pour ne pas me faire déchirer le cul par le premier homme à me fouiller l’intimité.

Allez hop, direction le hammam.
  waloou_32 Sitôt après avoir passé la porte du hammam, mes yeux n’étant pas encore habitués à l’obscurité, je trébuche plusieurs fois sur des pieds inconnus avant de trouver à m’asseoir sur un rebord en carrelage.
Je me dis, chouette du monde, c’est un signe prometteur.
Peu à peu, mes yeux s’habituent à l’obscurité, et je découvre l’homme assis à côté de moi. Il a une main sous sa serviette et se caresse lentement.
Après un échange de regards, il ouvre sa serviette et je vois sa bite qui bande déjà bien… je comprends qu’il veut que je le suce.
Ni une, ni deux, je me penche vers cet objet de plaisir moyennement long rose et trapu que j’engloutis en entier et je me mets à le sucer doucement en prenant bien soins d’écarter mes jambes pour lui laisser libre accès à mon cul. Pendant que je le suce, je lui masse les couilles avec mon autre main. Mon cul est tout humide de désir. Mon homme, s’y aventure et me mets un doigt. Je gémis un peu et je me mets à le sucer de plus en plus goulument alternant entre sa bite et lui lécher les couilles. Il me masse le cul la chatte et entre un deuxième doigt en elle.
Je suis certain qu’il va vouloir me baiser, il prépare le passage et vérifie probablement la propreté intérieure. Aucun soucis, je me prépare toujours bien le rectum avant mes sorties, je n’ai pas envie de rater une bonne baise à cause d’une propreté intérieure douteuse.

Au bout d’un moment (en effet, il a vérifié que j’étais propre), il me demande si je ne veux pas aller en cabine avec lui, j’ai bien entendu accepté sa proposition.
«Allez, là-bas, nous serons tranquille » dit-il en m’emmenant dans une cabine. Il ferme la porte derrière nous, et sans trop hésiter, il se met derrière moi debout, et pénètre ma chatte très accueillante avec sa bite bien dure, ses mains malaxent mes seins, et il me mordille le lobe de l’oreille.
J’ouvre la bouche et j’écarte les jambes un peu plus pour qu’il puisse être capable de me pénétrer encore plus profondément et il commence des va et vient lents. Son rythme s’accélère est devient plus fort et il pousse à chaque fois un peu plus fort et plus profond dans mes entrailles, je m’élargis peu à peu. Je me branle et ses coups de bites me procurent un orgasme et j’éjacule de grosses giclées de foutre par terre, je gémis et tremble debout, et je peux à peine rester sur mes pieds.
D’un air satisfait, il retire sa bite de ma chatte et me fait m’agenouiller devant lui.
« Viens, ouvre la bouche, je vais jouir sur toi » dit-il, et il se met à se masturber contre ma joue puis explose dans ma bouche. Le premier jet de foutre coule sur ma langue, puis il gicle sur mon visage et mes seins et une fois ses couilles vidées, je prends sa bite dans la bouche pour la nettoyer et sucer goulûment les dernières gouttes de son foutre chaud.
Je le remercie avec un baiser foutreux, puis je pars me prendre une douche rapide et je suis maintenant prêt à faire face à mon lieu de prédilection.

waloou_005Je prends l’escalier pour aller dans la backroom. Je mets ma serviette autour du cou et marche dans cette salle complétement obscure. J’avance lentement en tendant bien les oreilles pour me faire une idée précise de ce qui s’y passe.
J’écoute les sons des hommes qui se déplacent, les sons de succion de bite, les lourdes respirations, les claques sur les fesses, les gémissements de plaisir.
Vous passez par le contact (le toucher) et ça devient étonnement facile de dire s’il y a beaucoup de corps à côté de vous, s’ils sont grands, petits, minces, lisses, musclés ou enrobés.
Bien sûr, c’est très excitant et à force de toucher, de se faire toucher par plusieurs mains en même temps, ma bite molle redevient dure. Mes yeux commencent à s’adapter à l’obscurité, et lentement les formes sont perceptibles, assez vagues mais reconnaissables.
Je donne cinq fellations à des hommes attrayants dans l’obscurité, un seul jouit sous mes coups de langue et un autre me donne quelques jets de pisse dans la bouche que je m’empresse d’avaler. Ces hommes sont des baiseurs en série « serial fucker », et pour réussir à choper le premier orgasme de la journée d’un homme, il faut arriver dès l’ouverture du sauna.
Même pour moi, deux bouches se sont succédé sur ma bite, et sont reparties sans le jus espéré.
Il est délicieux de se déplacer parmi toute cette masculinité excitée, cette moiteur, ces odeurs différentes, ces bites de différentes tailles, affamées ou satisfaites, mais j’ai envie de faire une petite pause bien méritée.

En sortant de la backroom pour aller au bar, je vois un homme chinois mince enlever sa serviette.
Il marche devant moi et nos regards se croisent. Je frôle ma main sur son cul. Un léger sourire m’encourage donc et je fais demi-tour et je le suit dans la backroom.
Nous nous touchons, explorons nos corps, et moi, dos contre le mur, je l’enserre dans mes bras et nos langues se mélangent dans un long baiser.
Il m’embrasse doucement, utilise sa langue bien profondément dans ma bouche, presse sa bite raide contre moi. A tour de rôle nous nous suçons mutuellement, d’autres hommes nous caressent, voulant participer, mais nous ne voulons pas partager ce moment et nous partons nous isoler dans une cabine.
Il prend un préservatif et une dosette de gel, et toujours en m’embrassant, nous nous allongeons sur le lit, moi sur le dos et lui sur moi face à moi. Il a envie de me baiser. Il déchire l’emballage du préservatif, et je lui dis « Tu peux me prendre sans préservatif, si tu le désire ». Il accepte et me pénètre doucement. Je le regarde et nous nous embrassons à nouveau pendant qu’il me baise. Au bout d’un petit moment, sa respiration s’accélère au rythme de son excitation, jusqu’à sa jouissance exprimée par des râles.

Nous restons encore un moment allongés, puis échangeons nos 06 avant de se quitter chacun de son côté.

 

Les routiers sont sympas

En mars, je suis parti en déplacement en province pour mon boulot. Pour éviter les soirées ennuyeuses à l’hôtel, je me mets en quête de trouver un lieu de drague pas trop éloigné de mon hôtel.

Après quelques recherches sur internet, je me suis fixé sur un parking à environ une cinquantaine de kilomètres, ou normalement il se passe une certaine activité nocturne.

C’est décidé, j’irai demain soir.

Ma journée de travail terminée, je repasse à l’hôtel prendre une douche, bien me laver le cul pour être prêt au cas où se présenterait une occasion.

Je mets un string, des bas résilles, une petite robe, des escarpins, un jogging et un manteau, je prends une serviette et me voilà partie toute excitée en direction de ce lieu.

Après quelques kilomètres je vire mon jogging, ajuste une perruque, je mets un coup de rouge à lèvres mais je garde mon manteau sur ma robe car les soirées de mars sont encore fraiches, bien qu’il fasse beau et chaud en journée.

Une petite heure plus tard aux environs de 21h, j’arrive sur ce parking.

Trois camions étaient garés, très peu de voitures étaient là, quelques appels de phare, bref tout ce que l’on peut trouver sur un parking à cette heure-ci.

Je me gare pas loin des toilettes et prends mes marques et mes repérages de ce lieu.

Je sors de la voiture en direction des toilettes pour aller uriner et me faire voir de ceux qui viennent là pour ça, puis revient vers ma voiture.

Je décide alors d’aller me placer en face d’un camion ou j’ai remarqué que le chauffeur m’a regardé aller aux toilettes.

Le chauffeur a les pieds sur le tableau de bord et là, bien en face je le fixe bien. Il écarte les jambes pour me regarder et me fait signe de m’approcher de sa fenêtre en voiture.

  • Lui : Bonsoir, tu cherches quoi à me regarder !!
  • Moi : Bonsoir, je cherche quelque chose à me mettre dans la bouche.
  • Lui : OK, tu montes dans la cabine.

Il n’est pas très grand, type arabe, la trentaine.

  • Lui : Tu t’appelles comment ?
  • Moi : « La lope » et toi
  • Lui : Karim… et alors t’aimes quoi ?
  • Moi : Sucer, lécher, et plus
  • Lui : En fait t’es une chienne
  • Moi : Oui, une chienne chaude

Dans la cabine, il fait chaud, je retire mon manteau. Il ferme les rideaux et se colle à moi, sa bouche se pose sur la mienne et sa langue force ma bouche. Il a une haleine de tabac et de bière, ce mélange m’excite énormément. Je déboutonne son pantalon, et sort une bite de bonne taille déjà en érection. Il m’embrasse toujours mais je senti dans mes mains déjà le volume de cette bite dure et chaude, je veux la voir… à défaut je commence à le masturber pendant que ses mains se posent sur ma poitrine et vinrent titiller mes tétons, ce qui m’excite de plus en plus. Ne tenant plus, ma bouche stoppe ce baisé pour aller s’occuper plus bas de sa bite. Je la sens encore gonfler. Lui, me pince les tétons, je commence à gémir. Il s’est occupé de mes tétons pendant un petit moment avant de commencer à fouiller sous mon string avec sa main.

J’ai sa bite dans ma bouche, il ne bouge pas. Je commence à enrouler ma langue sur son gland en le tétant. C’est lui qui maintenant pousse des soupirs de plaisir. Je recule ma tête pour ressortir une partie de sa bite avant de la ravaler. Une de mes mains caresse ses couilles. Il se laisse faire un moment, me laissant seul rythmer ma fellation sur sa queue. Mais au bout d’un moment, il prend ma tête à deux mains et commence à baiser ma bouche. Ses va et viens deviennent de plus en plus puissant, son gland vient cogner ma gorge, me donnant des haut le cœur. Ma salive coule sur sa bite, je manque d’air, mais pourtant j’aime que Karim baise ma bouche, comme il en a envie.

  • Lui : Tu veux que je t’encule ?
  • Moi : Oui et comment !!

On se mets dans la couchette, moi en levrette en tendant bien mes fesses, il enlève son pantalon et son caleçon. Il écarte mon string, écarte mes fesses, puis crache sur mon anus.

Je sent bientôt son gland se frotter dans ma raie, sur mon anus. Il le pose dessus et force un peu, il dérape, mais bientôt il trouve l’entrée et se fraye un passage.

  • Moi : Doucement tu es gros.
  • Lui : Pousse salope ça va passer.

Un nouveau coup de rein de sa part et j’engloutis une partie de sa bite, il me prend par les hanches et ressort sa bite avant de l’enfoncer entièrement jusqu’aux couilles. Je serre les poings.

Il commence à faire des aller-retour dans mon cul, je le sens bien, il me fait du bien, je gémis.

  • Lui : Alors, la lope elle est bonne ma queue dans ton cul, ça te fait du bien ?
  • Moi : Oui elle est bonne je la sens bien elle est dure, elle tape au fond.
  • Lui : Tu es une grosse lope, tu vas avoir ce que tu es venue chercher
  • Lui : Tu le veux mon jus ?
  • Moi : Oui
  • Lui : Je vais t’engrosser, je vais te féconder …

Ses mots m’excitent… je me fais enculer par un inconnu dans son camion.

Karim se déchaine dans mon cul, je reçois des claques de plus en plus forte sur mes fesses alors que son plaisir monte dans ses reins. Je sens qu’il va jouir, sa bite me défonce en vibrant. Il donne un dernier coup de rein et reste au fond de mon cul ou je le sens jouir, son foutre brulant m’inonde le rectum.

Alors qu’il sort de moi il tourne ma tête vers sa queue ramollie.

  • Lui : Putain mec tu m’as bien vidé avec ton cul, c’était bon.
  • Lui : Lèche… salope… nettoie ma bite qui sort de ton cul.

J’ouvre la bouche et sort ma langue pour nettoyer son gland recouvert de son foutre, je le prends en bouche pour sucer et avaler.

Je reprends mes esprits, lui aussi et on se dit en revoir.

Je réajuste mon string, mes bas et ma robe, et sort de sa cabine et me dirige vers les toilettes.

Sur le coup, il faut que je me fasse jouir. J’ai passé plus d’une heure avec ce baiseur,  j’ai les fesses endolories et je sens le foutre perler sur mon string.

Arrivé aux toilettes, je m’enferme dans une cabine, je m’accroupis; j’ai l’anus, très sensible, j’ai l’impression qu’il est ouvert et ressorti, j’y passe mes doigts, j’enfonce un doigt, ma bite se raidi. J’en ai encore envie, les cuisses écartées, les doigts de la main droite sur mon anus et ma bite dans la main gauche, je m’enfile deux doigts bien profonds alors que ma main branle ma bite raide. Je ressors mes doigts souillés de foutre de mon cul pour les lécher et les sucer avant de me les renfiler. Je jouis rapidement en poussant un râle de plaisir. J’envoie deux grosses giclées de foutre sur la porte.

Je me remets debout et sort. Je ne suis pas seul, un gars m’a vu me diriger vers les toilettes et m’a suivi et entendu me faire du bien dans la cabine.

Il était grand, mince, la cinquantaine et avait déjà sa bite dans la main encore molle.

  • Lui : Tu veux la sucer ?
  • Moi : Oh que oui…

On se renferme dans les toilettes et je m’accroupis devant lui.

Je lui prends sa bite entre mes lèvres, et je me mets tantôt à le pomper, tantôt à lui lécher les couilles en redescendant vers ses fesses et je reviens sur son gland avec ma langue. Au bout d’un moment il prit ma tête et commence à bourrer ma bouche comme Karim tout à l’heure.

A ce moment-là je ne suis plus qu’un vide couilles. Il enfonce de plus en plus profond sa bite bien dure. Il n’hésite pas à me donner des coups de rein pour que je sente bien ses couilles sur mon visage. Son jus arrivait. Il se retire de ma bouche et jute de bons petit jets qui souillent ma figure et ma robe. Je continue à le branler tout en le regardant. Il est content d’avoir pu vider ses couilles sur la lope.

Je me remets debout, et m’essuie avec un kleenex.

  • Lui : J’aurais bien aimé te baiser, j’ai attendu une heure que tu en termine avec le routier là-bas.

En regardant sa queue ramollie,

  • Moi : Une autre fois, alors…
  • Lui : Je veux te pisser sur ta raie, retourne-toi

Je me retourne, je lève bien ma robe, et écarte bien mon string pour lui tendre mes fesses.

Il colle sa bite sur mon anus et se mets à m’arroser. La sensation de la pisse chaude qui coule sur mes fesses, qui asperge ma raie, qui dégouline sur mes bas me fait remonter mon excitation.

Après en avoir fini, je suis trempé par la pisse.

Il me lèche le cul pour me sécher, à l’occasion, il a dû récupérer un peu de foutre de Karim le routier. Pendant ce temps, je me branle et je joui à nouveau.

Il a ouvert les toilettes, on se dit au revoir, on part chacun de notre côté… Je commence à avoir froid.

Arrivé à la voiture je mets la serviette sous mon siège pour ne pas salir la voiture de location, et je repars souillé en direction de mon hôtel prendre une douche bien chaude.

Un vrai régal cette sortie, c’est à recommencer lors d’un prochain déplacement.