Grosse fessée pour une chienne

Tant pis, la fessée est interdite en France en 2016, heureusement pas pour tout le monde.

Dernièrement, un mec rencontré par l’intermédiaire d’un site de petites annonces, m’invite à passer un moment chez lui.

Le moment venu, j’enfile une paire de bas, met une petite culotte rose, et enfile une robe légère qui couvre juste mon cul. Je me maquille soigneusement et met des bottes, prends un long manteau et me voilà de sortie.

Après environ une heure de route me voici arrivé devant son lieu de résidence. Je gare la voiture et marche jusqu’à l’interphone en bas de la résidence. Je sonne et une voix m’invite à entrer dans le hall. En attendant l’ascenseur, je m’imagine des tas de choses… Est-il seul ou a t’il invité des potes pour cette occasion.

Arrivé sur le palier une porte s’ouvre et j’entre à l’intérieur de son appartement.

Il me débarrasse de mon manteau et m’offre un verre dans le canapé. Rapidement je me retrouve à toucher sa bite à travers son pantalon. Il se met debout et me demande de me mettre à genoux. Il sort sa bite, je la prends dans mes mains pendant quelques instants, je le caresse doucement, il lâche quelques soupirs.

« Suce-moi, bébé ! », dit-il, « Sois une bonne petite chienne »

Je lèche la pointe de son gland, déjà le pré-cum perle au bout. Mes lèvres alternent entre engloutir entièrement sa bite et passer ma langue sur les veines épaisses de sa bite. Comme d’habitude je suis toute dévouée à faire plaisir à mon amant.

 « Oh chérie ! » gémit-il, « Tu es une bonne petite chienne, j’ai envie de toi »

Il me saisit le poignet pour me lever et m’invite à le suivre dans sa chambre. Il me pousse sur le lit. Il se déshabille rapidement pendant que je le regarde. Il monte sur le lit et me roule énergiquement sur le ventre, puis soulève mon cul jusqu’à ce que je sois agenouillée. Il saisit ma culotte et la fait glisser le long de mes jambes. Je me sens tellement salope avec mon cul nu découvert sous ma robe. Il monte sur le lit derrière moi et je sens son visage entre mes fesses et sa langue commence à lécher mon petit trou. Il me lèche pendant un moment, ce qui me procure énormément de plaisir. En même temps il prend ma bite dure dans sa main, la tire doucement en enfonçant sa langue dans mon trou du cul. « Miam, miam ! » il me baise avec sa langue, et je sens des spasmes d’excitation dans tout mon corps.

Je suis à la limite d’éjaculer dans ses mains, j’halète assez fort.

« Attends ! » me dit-il, « Je veux d’abord te baiser, ma petite chienne ».

A pas mal jouer avec sa langue sur mon trou du cul, ce dernier est assez ouvert et prêt pour que sa bite me remplisse. En bonne chienne j’ai envie d’être prise, je ne contrôle plus mes sens.

« Allez ! » gémis-je, « Donne-moi ta bite ! »

« Oui, ma petite chienne ! » dit-il en poussant lentement sa bite dans mon trou tout trempé.
Il se saisit de mes hanches et effectue un lent va et vient, mais poussant un peu plus profond à chaque fois jusqu’à ce que je sente ses couilles frapper mes fesses.

D’une façon inattendue, il commence à me frapper le cul, ce qui décuple mon plaisir.

« Encore maître ! » Je crie à haute voix.

« Tu aimes ça, n’est-ce pas ma petite chienne ? »

« Oui maître ! »

« Je vais te donner quelque chose pour ne pas oublier que tu es une chienne »

« Oui maître, faites ! »

Il me frappe à nouveau les fesses, mais cette fois, ça me pique vraiment. Je commence à pleurer de douleur et d’excitation. J’attends un autre coup, il arrive quelques secondes plus tard, me faisant crier. Mes fesses sont toutes endolories par ses fessées et ma bite est vraiment prête à exploser. A ce moment je sens son foutre chaud remplir mon intérieur dans de grands spasmes. Après avoir pris soin de bien mettre les dernières gouttes de son sperme dans mon cul, il prend ma bite dans sa main et juste le contact de sa main est suffisant pour faire éjaculer tout mon sperme dans ses mains et sur les draps. Il retire sa bite de mon cul, je me retourne et reprend sa bite en bouche pour bien nettoyer la dernière goutte au bout de son gland.

Foutre à déguster

J’aime sucer et j’ai un grand appétit à assouvir, je raffole de ce précieux nectar. En fait, je pratique dans différents lieux de drague ou je peux trouver de multiples partenaires qui aiment les bonnes suceuses comme moi. Les hommes qui ont l’occasion d’en profiter me disent que je suis une pute à jus, une chienne vide-couilles.

Et moi, en bonne lope soumise, ma récompense est une bonne éjaculation faciale ou buccale. Lorsque le plaisir de mon partenaire monte et que l’orgasme commence, j’essaie de tirer le maximumwaloou_010 de jus à chaque saccade, et pour que mon partenaire ait une jouissance maximale, je continue de lécher le gland pendant que les giclées de sperme s’écrasent au fond de ma gorge, ou sur mon visage. En fin d’éjaculation, je lèche délicatement le gland jusqu’à obtenir la dernière goute de ce bon jus de couilles.

Le gout et la texture du sperme varient tellement d’une bite à l’autre, que c’est un plaisir gustatif à chaque fois que j’avale une dose de foutre tant convoitée. Le plaisir anal est pour moi du même niveau que le plaisir buccal, et mes partenaires aiment beaucoup mon gros cul. En général il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu’un partenaire décide de me retourner et de me tenir par les hanches pour me baiser vigoureusement. Souvent, après un certain nombre de va-et-vient, mon partenaire préfère rester bien au chaud au fond de ma chatte pour exprimer sa jouissance plutôt que de m’inonder la bouche.

Je suis une lope et donc au service des hommes, et s’ils veulent jouir dans mon cul, je n’irai pas à l’encontre de leur plaisir. Ainsi il m’arrive de récupérer la semence des capotes usagées de mes partenaires et de remplir des éprouvettes afin d’avoir des doses pour me nourrir régulièrement. Certains de mes partenaires habitués connaissent mon addiction, si bien que lors d’une rencontre ils m’apportent une ou plusieurs capotes nouées remplies de foutre.

Promenade nocturne

Un soir d’automne à la tombée de la nuit, je me promenais dans une rue déserte en lisière d’un parc, comme j’aime le faire pour me sentir libre d’aller et venir en talons et en tenue un peu sexy.

En marchant, j’ai vu au loin une bande de jeunes arriver dans ma direction. J’ai un peu peur des bandes qui risquent de vous insulter si ce n’est pas plus. Alors j’ai fait demi-tour, et je me suis vite réfugiée dans une entrée de parking d’un petit immeuble à une centaine de mètre de là. Mais ils m’ont suivie, et j’ai été très rapidement entourée de mecs pas vraiment agressifs, mais  moqueurs et machos. Parmi eux il y en avait un qui était homo et les autres l’ont poussé à me tâter les fesses, la poitrine et l’entrejambe, sous ma mini-jupe.

Cela à vite excité les autres qui tentaient de voir ce que cela faisait de …

waloou_027Puis ils m’ont tenue alors que leur copain tentait de me baiser. Ce qu’il a réussi à faire après plusieurs essais. Il avait une queue assez fine, et bien que pas très longue, j’ai tout de suite senti le va-et-vient avec d’autant plus de fougue que les circonstances étaient tendues. Mon excitation grandissait, j’étais encore sous contrôle, mais assumant totalement pourquoi je me retrouvais dans cette situation, mon corps à choisi de me faire jouir du derrière, comme pour oublier le danger. Cela les a tous très excité et lorsque le mec à éjaculé, plusieurs se masturbaient et me présentaient leur queue à sucer. Alors un autre mec voulu « essayer », et la pénétration me procurait encore plus de plaisir, tout comme l’ambiance qui devenait plus « festive ».

En fait ils étaient sept et chacun à leur tour, ils m’ont tenue par les hanches, pour me marteler les fesses de leur ventre. L’un après l’autre ils ont vidé leur semence soit dans ma bouche, soit sur mes fesses, soit dans mes fesses.

Ensuite, quatre ont poursuivi leur virée nocturne, et avec les trois autres restants nous sommes allés nous asseoir sur un banc dans le parc voisin. Leur attitude était très amicale et je me doutais bien de ce qui pouvait se passer… et ils m’ont à nouveau fait l’amour, moi me tenant au dossier du banc penchée en avant et eux défilant derrière chacun à leur tour pour quelques minutes de plaisir. Lorsque le troisième fut fatigué, le premier revint à la charge et le manège a continué de tourner. Deux ont fini par éjaculer à nouveau et ont quitté l’endroit épuisé. Le dernier, lui semblait infatigable. Il faut dire qu’il stoppait souvent ses assauts pour me peloter, et lorsqu’il avait repris des forces, il recommençait de plus belle. Lorsqu’il a enfin explosé, on est resté béat, et on s’est quitté sans un mot.

J’avais une drôle de sensation dans le ventre, ma chatte anale était toute dégoulinante et me chauffait bougrement. J’ai réajusté ma culotte et rejoins ma voiture à petits pas précautionneux. Une fois rentrée chez moi je me suis jetée sur le lit sans même me déshabiller, une sorte de joie incontrôlable me serrait la poitrine alors que mon ventre et mes reins étaient tout endoloris.