Je pense que la photo parle d’elle-même et que tous ceux qui ont participé à l’ouverture progressive de ma chatte peuvent être fiers du résultat.
Waloou dévoile son intimité
Je pense que la photo parle d’elle-même et que tous ceux qui ont participé à l’ouverture progressive de ma chatte peuvent être fiers du résultat.
J’assume totalement un côté exhibitionniste. Toutes les occasions, en tous lieux, à tous moments, sont pour moi prétexte à m’exhiber. Il va sans dire qu’avoir un goût pour l’exhib omet volontairement dans sa pratique toutes atteintes à la pudeur.
J’en viens naturellement à mes envies liées à la pluralité.
Oui !!! j’aime me faire saillir par plusieurs mâles en rut, des mâles bien vicieux dans la quarantaine ou la cinquantaine obsédés par le « trou ». Si j’ai une préférence pour les groupes déjà constitués, j’apprécie aussi les rencontres improvisées, surtout nocturnes dans des endroits glauques ou les mâles en rut rodent à la recherche d’une chienne à saillir. J’aime être cette chienne qui ne demande qu’à être remplie, sentir une grosse queue s’enfoncer en moi, me défoncer et me dilater la chatte à grands coup de reins. Aussi, dès l’arrivée des beaux jours, je donne mes trous dans les environs de Paris, la nuit.
En tant que bonne lope, j’éprouve un grand bonheur d’être mise à la disposition de mâles aux couilles pleines (peu importe le physique et l’âge du moment que l’hygiène est parfaite).
J’aime leur réaction quand ils ont compris quelle pute se trouve à genoux devant leur queue mais aussi à quatre pattes quand ils découvrent mon gros cul et ma chatte de femelle.
Là, ils comprennent que ne suis qu’un trou à remplir sans ménagement.
Les mots crus tels que : salope, pute, chienne, pétasse, truie, sac à foutre se mêlent aux gémissements et aux claques sur mes fesses.