PrEP – La révolution du barback et du nokpote

Je vais vous parler d’un sujet qui me tiens à cœur car malgré les efforts il y a une recrudescence de nouveaux cas d’infection au VIH.

Un partenaire occasionnel m’a parlé en 2015 d’une étude effectuée par l’agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (ANRS) « Ipergay, la PrEP à la demande ».

Je me suis tout de suite documenté et pris un rendez-vous à l’hôpital avec un médecin pour faire partie de cette étude, car je me suis senti dans la population concernée.

Plus tard, les résultats de cette étude ont montré qu’on pouvait réduire en moyenne de 85% le risque d’infection lors de rapports nokpote, et depuis mars 2016, il me semble …, la haute autorité de la santé (HAS) a donné une autorisation pour délivrer le fameux médicament qui est pris en charge à 100% par l’assurance maladie (la boite de 30 comprimés coute entre 450 et 500 euros). Le protocole de PrEP nécessite un suivi trimestriel : Une consultation de médecin et une recherche en laboratoire (fonction rénale, VIH, Hépatites B et C, Syphilis, Gonocoque, Chlamydia), autant dire peu de chose pour avoir le maximum de chances de son coté pour rester « Clean ».

Je rencontre beaucoup de partenaires et une grande majorité sont fan du nokpote (pères de familles, hommes mariés, etc… ) et ne connaissent pas la PrEP, c’est fou 😥 !!!

Malgré les sorties de AIDES sur les lieux de drague gay (plusieurs fois, j’ai discuté avec des bénévoles de AIDES sur ces lieux), la PrEP est toujours aussi méconnue.

Alors, on baise nokpote, OK, mais la recherche évolue, on applaudie alors il faut aider à la connaissance des nouveaux traitements. N’hésitez pas à faire une petite recherche sur Google ou bien à aller lire l’article qui répondra à vos interrogations sur le site de La PrEP | AIDES

Des questions, on peut en parler ici.

 

Foires aux lopes

Les foires aux lopes sont des événements réguliers organisés par certains clubs, un peu comme les soirées «mousse» ou «t-shirt mouillés». Mais ce qu’il s’y passe est peut-être un poil plus torride…

waloou_028 Nées en Allemagne, dans les clubs de Hambourg, Berlin ou Mannheim, les foires aux lopes consistent en une mise en scène des rapports de domination et de soumission entre deux hommes. Le premier a le rôle du bourrin, de l’actif, du dominateur ; le second celui de la lope, du passif, du soumis. La mascarade file la métaphore du marché aux bestiaux et connaît des règles plutôt strictes.

Chaque participant à une foire aux lopes décide en amont de la soirée s’il sera bourrin ou lope et ne pourra dès lors plus changer de rôle. Les lopes entrent en premier dans la pièce, parfois appelée «la salle des saillies». Elles se dévêtissent, habillées seulement d’un sac de toile sur la tête, mains attachées, prêtes à s’offrir à leurs bourrins. En aucun cas, elles ne doivent pouvoir les voir ! Ceux-ci entrent alors à leur tour, nus également, et choisissent leurs proies. Les lopes ne peuvent se refuser lorsqu’elles ont été choisies.

Le rapport sexuel a lieu soit sur place, soit dans une autre pièce. Ensuite, les «soumis» sont remis à disposition des autres «dominateurs». Si ces manières peuvent paraître de premier abord un peu sauvages, il n’est jamais inutile de rappeler que les foires aux lopes se déroulent entre adultes très consentants, que chaque rapport est soumis aux règles très strictes du sexe sans risque et qu’en cas d’infraction, les organisateurs peuvent s’engager à porter plainte au pénal. Les foires aux lopes se déroulent donc dans un contexte ultra-sécurisé, chapeautées par des responsables d’établissements très vigilants. Et si les pratiques s’apparentent clairement à celles des soirées bondage et sadomasochisme (BDSM pour les initiés), la sexualité qui s’y épanouit n’est pas forcément hard et extrême. Le simple jeu de rôle entre un bourrin et une lope peut parfois suffire au plaisir des participants. Ici, les soirées ne s’achèvent pas forcément par une session uro ou double fist ! Entre une foire au lopes et une fille qui inonde de pastis son t-shirt blanc à la féria de Béziers devant une bande de mâles en rut, il n’y a donc qu’un pas…

Je viens de trouver un reportage très assez détaillé de « La voix du X » sur le déroulement d’une foire aux lopes qui était organisée à Berlin en Avril 2016. Je vous met le lien direct  On a testé la Foire aux lopes de Berlin

 

Promenade nocturne

Un soir d’automne à la tombée de la nuit, je me promenais dans une rue déserte en lisière d’un parc, comme j’aime le faire pour me sentir libre d’aller et venir en talons et en tenue un peu sexy.

En marchant, j’ai vu au loin une bande de jeunes arriver dans ma direction. J’ai un peu peur des bandes qui risquent de vous insulter si ce n’est pas plus. Alors j’ai fait demi-tour, et je me suis vite réfugiée dans une entrée de parking d’un petit immeuble à une centaine de mètre de là. Mais ils m’ont suivie, et j’ai été très rapidement entourée de mecs pas vraiment agressifs, mais  moqueurs et machos. Parmi eux il y en avait un qui était homo et les autres l’ont poussé à me tâter les fesses, la poitrine et l’entrejambe, sous ma mini-jupe.

Cela à vite excité les autres qui tentaient de voir ce que cela faisait de …

waloou_027Puis ils m’ont tenue alors que leur copain tentait de me baiser. Ce qu’il a réussi à faire après plusieurs essais. Il avait une queue assez fine, et bien que pas très longue, j’ai tout de suite senti le va-et-vient avec d’autant plus de fougue que les circonstances étaient tendues. Mon excitation grandissait, j’étais encore sous contrôle, mais assumant totalement pourquoi je me retrouvais dans cette situation, mon corps à choisi de me faire jouir du derrière, comme pour oublier le danger. Cela les a tous très excité et lorsque le mec à éjaculé, plusieurs se masturbaient et me présentaient leur queue à sucer. Alors un autre mec voulu « essayer », et la pénétration me procurait encore plus de plaisir, tout comme l’ambiance qui devenait plus « festive ».

En fait ils étaient sept et chacun à leur tour, ils m’ont tenue par les hanches, pour me marteler les fesses de leur ventre. L’un après l’autre ils ont vidé leur semence soit dans ma bouche, soit sur mes fesses, soit dans mes fesses.

Ensuite, quatre ont poursuivi leur virée nocturne, et avec les trois autres restants nous sommes allés nous asseoir sur un banc dans le parc voisin. Leur attitude était très amicale et je me doutais bien de ce qui pouvait se passer… et ils m’ont à nouveau fait l’amour, moi me tenant au dossier du banc penchée en avant et eux défilant derrière chacun à leur tour pour quelques minutes de plaisir. Lorsque le troisième fut fatigué, le premier revint à la charge et le manège a continué de tourner. Deux ont fini par éjaculer à nouveau et ont quitté l’endroit épuisé. Le dernier, lui semblait infatigable. Il faut dire qu’il stoppait souvent ses assauts pour me peloter, et lorsqu’il avait repris des forces, il recommençait de plus belle. Lorsqu’il a enfin explosé, on est resté béat, et on s’est quitté sans un mot.

J’avais une drôle de sensation dans le ventre, ma chatte anale était toute dégoulinante et me chauffait bougrement. J’ai réajusté ma culotte et rejoins ma voiture à petits pas précautionneux. Une fois rentrée chez moi je me suis jetée sur le lit sans même me déshabiller, une sorte de joie incontrôlable me serrait la poitrine alors que mon ventre et mes reins étaient tout endoloris.

Baise au bois

En une rare journée ensoleillée de ce pourri mois de mai, j’avais envie de bites, je décidais d’aller dans un bois bien connu de la région parisienne de par son activité.

En fin d’après midi, après mon taf, je pris une bonne douche, un bon lavement et je glissais dans le sphincter anal un peu de gel pour bien me préparer l’anus. Je m’habillais en bonne lopette, histoire d’exciter au mieux la gente masculine qui serait présente sur les lieux.

waloou_026J’enfilais une petite culotte rose, une mini jupe noire, une tunique, des bas noirs, mes bottes à gros talons (c’est plus facile pour marcher dans les sous-bois) et un jogging par-dessus pour sortir et faire le trajet discrètement.

J’arrivais sur place, il était à peut prêt 18h, il faisait encore jour, des voitures étaient déjà présentes. Je gare ma voiture sur le petit parking, jette un œil;  quelques hommes faisaient des aller et venues dans les allées et les sous-bois.

J’ôtais donc mon jogging et descendait de la voiture, marchait en direction de la petite colline ou j’avais décidé d’aller m’installer.

En chemin je sentais que j’étais suivi, ce qui me ravissait et m’inquiétait un peu, c’était un sentiment étrange. Arrivé sur la petite colline, je me mis à genou sur un drap de bain que j’étalais dans l’herbe. J’étais observé et les voyeurs sortaient leurs queues et commençaient à se l’astiquer.

Je fis un signe pour qu’un mec ose venir vers moi, et en moins de deux minutes ils étaient deux ; puis trois autour de moi à me tendre leur bite à sucer.

Ca m’excitait de plus en plus. Les mecs plus loin continuaient de se branler et moi je suçais à tour de rôle les trois zobs. Un des trois mecs ôtait ma culotte et commençait à me toucher ma petite bite qui mouillait déjà bien et me l’englouti en bouche; c’était très doux et j’étais obligé de le freiner un peu, sinon j’allais jouir très vite.

Entre temps, d’autres voyeurs se sont rapprochés et un d’eux voulu me baiser à 4 pattes, offert à la vue des vicieux. Je me sentais totalement impudique et j’adorais ça… Après m’avoir ouvert le cul et y avoir inséré plusieurs doigts, qu’il faufilait bien partout, il mit un préservatif et me rentrait son pieu comme dans du beurre, tant j’étais excité de cette situation en plein air. Il commençait par de grands mouvements lents qui s’accéléraient progressivement.

Les voyeurs se sont un peu rapprochés, la nuit n’était plus très loin. Je les voyais se masturber frénétiquement, puis ils se le faisaient mutuellement.

J’entendais des mecs crier « Défonce-là, bourre son cul, baise la salope ».

L’homme derrière moi me baisait de plus en plus fort. Il haletait, je sentais qu’il allait cracher son foutre, et moi je suçais, branlais tant que je pouvais les deux, trois ou quatre queues présentes. L’une d’eux m’explosait son jus épais en pleine bouche et je sentais que l’homme derrière moi déchargeait sa semence dans la capote.

Il se retirait, jetait  la capote et me présentait son membre pour que je le nettoie des restes de sperme. Un autre que je suçais pris le relais mais en m’allongeant sur le dos… Je relevais et écartais bien les jambes, la chatte anale bien offerte. Il enfilait une capote et plantait son pieu dans mon intimité luisante et chaude. Ses coups de boutoir de plus en plus rapide massaient ma prostate ce qui me faisait jouir du fion, un filet de liquide séminal coulait de ma queue molle.

J’entendais des mecs dire : « elle jouit, la salope, elle aime la baise, elle aime la bite, ça se voit ! »

Dans cette position il était difficile de bien sucer les queues qui se présentaient, les mecs se branlaient sur ma tronche, tantôt l’un ou l’autre me baisait la bouche.

L’homme en missionnaire ne tardait pas à jouir en moi en longues saccades, et presqu’en même temps les autres queues se vidangeaient sur mon visage.

Après avoir repris mes esprits, je rassemble les restes de sperme en passant ma main sur mon visage, et en léchant mes doigts avec délectation.

Un des voyeurs au loin s’était rapproché en se masturbant et voulait se finir sur mes fesses que je lui tendais. Après quelques râles je sentis des petites giclées chaudes sur mon sillon anal. Les autres voyeurs avaient déjà déchargés leur foutre au sol ou ailleurs.

Je remis ma culotte et en repartant vers ma voiture, je sentais le sperme coller le nylon sur mes fesses… Agréable sensation de cette fin d’après midi.