Salope à pisse et à jus

Un jour je suis contactée par un homme qui me dit être fan des jeux humides. Il me dit aimer pisser sur une bonne salope mais son kiff est de pisser dans une bonne salope, ce qui m’excite au plus haut point.

Après quelques échanges avec lui, remarquant qu’il était bien pervers et vicieux et surtout qu’il avait l’air fiable, nous convenons d’un rendez-vous chez lui à l’heure de l’apéro.

Pour cette soirée arrosée chez Denis, je me suis préparée comme ceci : Un string et un soutien-gorge rouge avec une paire de bas auto-fixant couleur chair. Tout ça sous une petite robe tube noire avec une large ceinture à la taille, perruque blonde et mes sandales beige clair à hauts talons.

Je reçois un SMS : « Alors tu arrives, salope ? »

Je réponds : « je pars »

J’enfile un manteau, et après une petite heure de trajet, j’arrive devant chez Denis ; Il habite dans un joli pavillon en banlieue parisienne. Je me gare, je sonne et Denis m’ouvre la porte.

Perchée sur mes hauts talons, j’apparais bien offerte à son regard. Denis me fait la bise et m’annonce que je vais avoir une surprise.

Humm, j’adore les surprises.

Denis m’invite à le suivre au salon. Un de ses potes est là, une pinte de bière posée devant lui sur la table du salon. Dans ma tête je me réjouis déjà, deux mecs pervers pour moi seule ce soir.

Denis m’invite à me mettre à l’aise, prends mon manteau et me propose un apéritif.

Je me retrouve assise à côté de son pote à siroter mon apéritif, et Denis assis sur un fauteuil à notre droite, lui aussi une pinte de bière devant lui.

J’en profite pour vérifier, en passant une main entre les jambes du pote de Denis, si je lui fais de l’effet et je crois que oui. Il sorti sa queue de son pantalon et m’attrapa la tête pour que je commence à le sucer. Son membre grossit très vite et quel plaisir de sentir cette queue m’envahir la bouche.

Denis ne resta pas insensible à ce spectacle.

Je me mis à genoux toujours en train de sucer son pote pendant qu’il remontait ma robe. Il enlève le Rosebud XL de mon cul et le remplace par sa queue déjà très dure. J’étais bien prise des deux côtés. Après quelques va et vient en douceur pour bien m’ouvrir la chatte anale, Denis retire sa queue et la remplace par un gros plug avec une ouverture centrale pour garder ma chatte bien dilatée. Je sens au moins 3 ou 4 doigts tester mon trou ainsi mis à sa disposition.

Le pote de Denis ôte ma bouche goulue de son membre pour ne pas exploser tout de suite. Nous continuons notre apéritif et Denis retire ma robe. Je me retrouve ainsi uniquement en sous-vêtements.

J’étais déjà bien excitée et, ils m’ont attirée vers le fond de la salle de bain. Je me retrouve à 4 pattes dans une grande douche à l’italienne qui laisse beaucoup de place pour des jeux humides.

« Tu aimes la queue salope ? Tu sais que tu es là pour qu’on te remplisse à la pisse et au jus »

Denis remplace son pote dans ma bouche et commence quelques va et vient. J’ai déjà la bouche pleine et il continue à s’enfoncer au fond de ma gorge, me faisant déglutir et baver de plus en plus. J’évite un haut le cœur, crache de la bave gluante qui contribue à les exciter encore plus tous les deux.

« Montre un peu ton cul !!! »

Denis enfonce un entonnoir dans le trou central du plug anal. Il demande à son pote s’il veut commencer à me remplir à la pisse. Celui-ci propose à Denis de démarrer pendant que je me fais baiser la bouche par lui.

Denis lâche deux ou trois petits jets chauds et je sens que l’entonnoir commence à faire son travail, la pisse s’écoule à l’intérieur de mon cul.

« Humm, j’adore ça. »

Denis invite son pote à pisser à son tour en lui disant qu’il veut garder sa pisse pour me gaver ma gueule de pute.

Son pote ne se fait pas prier et commence à remplir l’entonnoir, il laisse le temps que toute sa pisse s’écoule à l’intérieur de ma chatte anale puis recommence. Je sens que mon cul se remplit avec toute la pisse qui y entre.

Une fois fini, il retire l’entonnoir et le plug tunnel et je serre fortement les fesses pour retenir le maximum de pisse à l’intérieur.

Je suis complètement excitée par cette situation, moi en levrette sur le carrelage de la douche remplie de pisse avec ces deux mecs pervers qui veulent me gaver. Je me suis assise dans la douche, j’en veux encore plus, et je supplie Denis de me remplir la gorge de pisse. Il ne se fait pas prier et lâche quelques jets de pisse bien contrôlés pour que je puisse tout avaler. Il laisse la place à son pote qui dirige sa queue vers ma bouche de salope et lâche aussi un grand jet de pisse. Je n’arrive pas à tout avaler, ça coule sur mes sous-vêtements. Sa pisse a une odeur plus forte, ça m’excite encore plus.

A tour de rôle, ils me pissent à volonté dans la bouche ou dans la gorge. J’évite plusieurs fois d’avaler de travers et je me sens mentalement comme une pute souillée à la pisse, remplie des deux côtés par leur pisse chaude.

Une fois qu’ils ont bien vidé leur vessie, le pote de Denis me dit de me mettre à 4 pattes et qu’il va me laisser me vider le cul dans un saladier. Je sens plusieurs jets chauds sortir de mon cul et s’écraser au fond du saladier. Ensuite Denis prend le saladier et me le vide sur le visage. J’ouvre grand la bouche et lape pour en boire le maximum.

Mes deux amants étaient très excités par cette situation. Ils commencent ainsi à tour de rôle à enfoncer leur queue dans ma gorge puis se masturbent chacun juste devant ma bouche grande ouverte et langue tirée. Je vois leur queue grossir à nouveau et leur gland se gonfler de sang. Denis vient le premier et lâche son jus avec deux petits jets qui atterrissent directement dans ma bouche avant de finir de frotter et nettoyer son gland sur mon visage. Son pote vient terminer par une belle éjac faciale avec un jus plus abondant et épais.

Après, j’attends dans un coin de la salle de bain couverte de pisse et de jus que mes deux amants prennent leur douche.

Avant mon tour pour la douche, ils avaient encore envie de pisser. Normal avec les bières bues tout à l’heure. Je me suis mise accroupie dans la douche et chacun à leur tour ils m’ont encore pissé dans la bouche.

Cette soirée s’est poursuivie en continuant de leur faire plaisir avec ma bouche et ma chatte au fil de leur envies pendant le repas.

Après cette soirée je suis repartie uniquement vêtue de ma robe tube avec mes affaires souillées dans un sac. Pendant le trajet, en me remémorant cette soirée, mon bas ventre me chauffait encore et ma chatte mouillait. Je fais donc un petit détour par un parking de drague connu de la région.

Chienne d’autoroute

La semaine dernière, j’ai répondu à un appel sur mon téléphone :

« Bonsoir, dit la voix d’un homme, je souhaite parler à Waloou »

« C’est moi Waloou » répondis-je.

« Je suis Nadir, je suis chauffeur poids lourd. J’ai vu ton numéro sur Wannonce. Je serai ce soir sur l’aire de Vémars Est sur l’autoroute A1. »

Un silence se passe, puis le gars enchaîne :

« Viens à minuit sucer ma bite, espèce de pute »

Je lui répondis :

« Ok, je serai là »

« Ok, salope ! Pas de soucis pour moi. Je dois rester là toute la nuit et j’ai envie que tu me suces, salope, et vide mes couilles pour passer une bonne nuit de sommeil »

Hummmm, le type est chaud comme la braise et ça m’excite. La tentation de sucer la bite de ce routier est si grande, que je me suis bien préparée. J’ai mis des bas résille, un porte-jarretelles, un petit pull pour luter contre la fraicheur de l’automne, un string rouge, des longs gants noirs, une mini-jupe noire, et des bottines à talons. Un beau rouge à lèvres bien marqué, un collier de chienne, et une perruque rousse viennent finir ma tenue de soirée.

Je me suis déplacé vers cette aire d’autoroute que je connais bien, Nadir m’ayant envoyé entre temps les infos pour se retrouver. Lors de mon arrivée sur l’aire d’autoroute, j’ai vu parmi tous les camions garés, la semi-remorque de Nadir qui était là au bout du parking, parquée sous un lampadaire.

Je me suis garée et me suis dirigée vers son camion, la chatte anale trempée d’excitation. Le rideau de la cabine du côté conducteur était fermé, alors j’ai fait le tour. Il a entendu mes talons claquer sur le sol, car il a ouvert la fenêtre et m’a regardé d’un air arrogant.

« T’es une bonne pute. Déplace-toi un peu, sous le lampadaire, que je vois à quoi tu ressembles, salope »

Je me suis exécutée. Il m’a ordonné depuis la cabine à me retourner, me pencher en avant, montrer ma chatte anale. Il m’a ordonné de me retourner et lui montrer mon clito. Le parking était assez fréquenté, mais assez calme vu l’heure tardive. Après m’avoir forcée à m’exhiber dans plusieurs positions indécentes, il est descendu de sa cabine pour me rejoindre. Le type devait avoir la quarantaine, ni mince, ni gros, il avait déjà sa bite raide dans la main et était sur le point de se branler.

« Bonjour Nadir, je suis ta chienne pour te vider les couilles » dis-je.

« Tu as une très belle queue et je veux te sucer ! »

Nous avons fait le tour de l’autre côté du camion afin de nous mettre dans la pénombre.

« Ta gueule salope ! A genoux, salope ! » répondit Nadir.

Je me mis à genou. Nadir m’attrapa fermement la tête et me dit :

« Tu ne parles pas ! »

Il m’attira la tête contre sa queue. Et me laissa goûter sa belle queue avec ma bouche humide, et puis il a poussé ma tête lentement jusqu’à ce que ma bouche enfourne son membre épais et succulent. Nadir était expérimenté et m’a démonté la bouche avec sa queue dure sans jouir. Pendant de longues minutes, il m’a limé la bouche très lentement, puis plus vite et à nouveau plus lentement. Il s’enfonçait parfois très profond et me gardait la tête contre sa queue pendant quelques secondes. La salive dégoulinait de ma bouche, à deux doigts d’étouffer.

« Alors petite pute, tu aimes ma queue ! tu aimes la sentir dans ta bouche de chiennasse ! »

Il me baisait maintenant la bouche avec sa queue dure et brutale. Ses couilles frappaient mon menton. J’avais de la peine à suivre son énergie et les larmes me coulaient. Il avait vraiment envie de me défoncer la bouche à grands coups de reins. Puis, sans doute avant d’exploser dans ma bouche. Il s’est retiré. Il m’a penché en avant pendant que je reprenais mon souffle, puis il m’a mis direct ses deux premiers, puis trois, puis quatre doigts dans ma chatte, et il a commencé à écarter mes entrailles. J’étais contente car au début je devrais juste le sucer, mais ma chatte dégoulinait de plaisir. Ses doigts perforaient mon trou en écartant les doigts comme s’il s’agissait d’un spéculum. Ça semblait plaire à Nadir. Il grognait de plaisir et ma bouche était toute gluante car il avait déjà lâché un peu de liquide pré-éjaculatoire dans ma gorge, et j’avais le goût du foutre dans mon cou et la senteur de sa semence sur mes lèvres. Pendant qu’il s’amusait encore avec ma chatte, j’ai commencé à lui lécher les couilles en cambrant encore plus mon cul comme une salope soumise. Soudain, j’ai entendu une porte de voiture se refermer et quelqu’un venir vers nous.

« Bouge pas sale pute ! » m’ordonna Nadir en gardant ses quatre doigts enfoncés dans mon anus dilaté et trempé. J’ai senti le nouveau type arriver dans mon dos. Je n’étais pas tranquille.

Nadir lui a dit : « Salut ».

L’autre a dû répondre d’un signe de la main, car je ne l’ai pas entendu.

« Si tu veux profiter de cette putain, tu peux y aller. Elle est bonne » Dit Nadir.

Alors le type que je ne voyais pas s’est penché derrière moi et m’a attrapé les couilles, puis mon clito qu’il a tiré vers l’arrière. Nadir continuait à me torturer la chatte anale. Je voulais enlever les mains du nouveau type, mais Nadir sortit ses doigts de ma chatte brutalement et attrapa à nouveau ma tête et se remit à me baiser la bouche rapidement et profondément. A quatre pattes, cambrée en arrière, la bouche encombrée par la queue de Nadir, j’étais à la merci du type qui malaxait mes couilles et tirait de plus en plus fort sur mon clito. Puis l’homme derrière moi a dit quelque chose que je n’ai pas compris. Nadir a ri.

« Si tu veux baiser cette traînée, c’est un vrai garage à bites »

J’avais compris, le type lui avait demandé l’autorisation de me baiser. J’ai entendu que le type derrière moi crachait sur ma fente pour la lubrifier, et m’enfila d’un seul coup et profondément. Le gars n’avait pas une longue queue, elle était large, je sentais les tissus de ma chatte bien tendus, mais il ne me transperçait pas trop loin.

« Alors la petite pute aime cette situation, hein ! » me dit Nadir en continuant à pilonner ma bouche. L’autre cochon faisait de fortes poussées brutales et régulières tout en claquant mes fesses avec ses mains.

« Vas-y, baise-moi cette chienne perverse ! » chuchotait Nadir en se penchant en avant.

Je soupçonne qu’il avait une vue imprenable sur mes chairs défoncées. Il voyait la queue de l’autre inconnu limant ma chatte à grands coups d’aller-retour. J’ai commencé à haleter de plaisir. Ma bouche et ma chatte étaient remplis. Le souffle coupé, la queue épaisse et chaude de Nadir me choquait le palais. Je suçais avec application et goulûment. Le type derrière moi avait complètement pris possession de mes entrailles. Puis sans doute pour éviter de jouir, Nadir est ressorti de ma bouche et m’a donné une gifle en m’ordonnant de sucer ses couilles. L’autre a soudain poussé de toutes ses forces en me tirant le bassin vers lui avec ses deux mains et a gueulé pendant de longues secondes pendant qu’il éjaculait par saccades dans ma chatte. Il semblait avoir des litres de foutre, car il ne s’arrêtait pas de gémir. Puis il a relâché son étreinte et a ressorti son marteau-piqueur de mes entrailles.

« Viens te nettoyer la bite dans la bouche de cette pute » dit Nadir qui bandait toujours comme un taureau.

Nadir se mit de côté et le type inconnu prit sa place. Sa queue sentait la mouille de ma chatte. Sa queue était moins longue que celle de Nadir, mais bien large. Je comprenais mieux pourquoi je l’avais bien sentie écarter ma chatte. Je le pris en bouche et nettoyé sa queue délicatement avec ma langue. Soigneusement, j’avalais les dernières gouttes de son foutre. Sa queue était ramollie. Il se retira et laissa la place à Nadir qui bandait toujours comme un taureau. Cette situation semblait l’exciter énormément. Je sentis que l’autre resta à regarder comment allait se conclure le plaisir de Nadir.

« J’ai partagé ma pute, parce que je sais qu’elle aime, ça la salope ! » dit Nadir en remplissant à nouveau ma bouche avec sa queue et en se remettant à me la limer avec vigueur en me tenant la tête. A quatre pattes, ma chatte dégoulinait du foutre du type qui m’avait enculé. Cette sensation de trou bien dilaté m’excitait encore plus, et je sentis un petit air frais me rafraîchir la chatte. Soudain, je sentis la queue de Nadir pousser profondément dans mon cou. J’étais en gorge profonde. Les larmes me coulaient et j’allais déglutir. Il y avait bien une demi-heure que je suçais à fond. Je me suis préparée à recevoir le foutre au fond de ma gorge, mais Nadir se retira et retint ma tête avant de haleter bruyamment en pulvérisant d’énormes giclées de foutre directement dans ma bouche que j’avais laissée ouverte. Nadir a tenu ma tête pendant quelques minutes. Je me contentais de le sucer tendrement avec des petits coups de langue. L’autre en profita pour partir. Il s’était masturbé en regardant jouir Nadir. Il avait éjaculé une deuxième fois sur mes fesses sans que je le remarque. La queue de Nadir devint flasque. Il me lâcha la tête et me dit :

« Tu es vraiment une putain de chienne bien excitée et docile, toi ! »

Je lui demandai :

« Le type qui est venu me limer la chatte, il était prévu ? »

« Oui, je l’avoue. Je lui ai donné rendez-vous même si j’ignorais s’il allait venir. Tu as aimé salope, non ? »

« J’ai eu un peu peur mais l’excitation était si présente que je me suis laissé faire en pute docile »

Nadir remonta son pantalon qui était resté sur ses chevilles et rangea sa queue sans répondre.

« On peut garder contact, je te recontacterai sûrement lors d’un prochain passage, petite pute ! »

Nadir regagna son camion. Moi, j’avais les jambes qui tremblaient et ma chatte mouillée de plaisir en regagnant ma voiture. J’avais passé au moins 1 heure à quatre pattes, la croupe offerte.

Baisée sur une table de pique-nique

Les temps sont difficiles en ce moment de pandémie et mes besoins sexuels sont toujours aussi importants.

Un ami hétéro que je connais bien car nous nous sommes déjà amusés ensemble à plusieurs reprises avant la pandémie, m’a contacté car il avait lui aussi les mêmes besoins que moi.

C’était en début de semaine, il commençait à faire bon dehors, et il m’a dit qu’il passerait me prendre en voiture un soir après le couvre-feu.

Il est arrivé à l’heure dite, et m’a dit de monter dans sa voiture pour m’emmener quelque part. Pendant qu’il conduisait, il a pris ma main et l’a posée sur sa bite dure à travers son short. Après quelques instants à le branler, mon cul s’humidifiait de désir et je me penchais vers son bas ventre pour le sucer.

Après 15 minutes de route, nous nous sommes garés sur une aire de repos qui est aussi un lieu de drague nocturne. Mais pas une voiture n’était présente ce soir-là uniquement un camion. Il m’a dit de sortir avec lui et nous nous dirigions vers les tables de pique-nique. Je me suis accroupie devant lui et je continuais l’activité que j’ai commencé pendant le trajet. Ce faisant, il m’a alors forcé à sucer sa bite en prenant ma tête entre ses mains. Je sentais sa bite palpitante dans ma bouche et ça ne faisait que m’exciter davantage alors qu’il me soulevait et me disait de me coucher sur la table de pique-nique. Il a ensuite levé la robe que j’avais et a écarté mon string. Il a ensuite passé mes jambes sur ses épaules et a passé son gland humide sur mon trou du cul. Il a commencé par me doigter, ça rentrait comme dans du beurre. Je laissais sortir quelques gémissements et me sentais très excitée d’être doigtée dans un lieu public. Puis j’ai senti sa bite frotter contre mon trou du cul, et finalement il l’a poussé dedans. Me faisant gémir comme une salope alors qu’il commençait à me baiser il prit son temps… J’appréciais trop chaque poussée de sa grosse bite dure au fond de mon ventre qui massait ma prostate ce qui me faisait jouir du cul, un filet de liquide séminal coulait de ma bite molle. Il a ensuite sorti sa bite et m’a dit de descendre de la table et de me pencher en avant, ce que j’ai fait, je m’attendais à ce qu’il me baise en levrette mais au lieu de cela, il a mis 4 doigts dans mon trou du cul puis sa main entière pour me fister. Là, je sentis des spasmes d’excitation dans tout mon corps. Il retira sa main et mis sa bite dure dans mon trou du cul béant. Il a commencé à accélérer et je sentais ses couilles frapper mes fesses. Je savais qu’il était sur le point de jouir, il s’est retiré et s’est masturbé devant ma bouche grande ouverte. Quelques instants plus tard je sentis son foutre chaud sur mon visage et remplir ma bouche dans de grands spasmes.

J’ai léché sa bite pour la nettoyer des dernières goutes, je faisais de même avec le foutre que j’avais sur le visage.

J’étais chaude comme de la braise, dommage que personne d’autre n’ai bravé le couvre-feu ce soir-là. Le routier devait dormir ou n’était pas intéressé.

Nous sommes retournés vers la voiture, le routier était là, la bite à la main. Il a du tout voir, et je ne pouvais pas repartir sans le soulager. Je me suis mise accroupie devant lui et il m’a enfoui sa bite toute entière dans la bouche. J’ai commencé à le pomper, j’ai senti sa bite palpiter et tout son foutre est venu maculer le fond de ma gorge. Il se retira et me remercia.

Nous avons repris la voiture et mon ami m’a déposé à la maison avant de repartir chez lui.