C’est une bonne idée de m’avoir donné rendez-vous dans ce coin sordide… Ce hangar désaffecté est l’endroit idéal pour me baiser… J’ai l’impression d’être une vulgaire pute d’autoroute…
Il faut dire que j’en ai toutes les apparences… Je me suis travesti comme tu me l’as demandé… C’est bluffant, n’est-ce pas ?…
Ma perruque noire au carré… Le visage fardé… La bouche rendue pulpeuse par le rouge à lèvres… Mon chemisier en soie… Ma jupe en cuir noir… Mes escarpins…
Je vois bien que tu bandes… Cela me fait plaisir… Je caresse avidement la bosse de ton pantalon…
Tu es dur… Tu en profites pour me palper les fesses… Mon cul te surprend… C’est un petit cul musclé qui se cambre comme celui d’une femelle sous les caresses d’un homme… Ta main baladeuse me rend folle, tu sais ?… Chauffe-moi encore pendant que je sors ta bite du pantalon…
Je crois que je mouille du cul…
Oui… J’ai ta queue dans la main et je la branle… Oui ! Ton doigt dans mon cul !
Merci… Je le sens dans mon intimité qui frétille tel un poisson rouge tombé du bocal… Il se fait une place dans mon ventre… Je suis déjà prêt à l’enculage…
Tu ne veux pas que je te suce un peu, avant ?…
Comme tu voudras…
Alors, vas-y, prends-moi maintenant…
Je m’appuie sur une colonne d’acier rouillé qui soutient le toit du hangar… Je me cambre en gémissant d’avance sur ce qui m’attend… Je sens tes doigts qui courent sur mes fesses, pour baisser mon string… Ce dernier se retrouve sur mes chevilles… Je vais être troussée comme une fille de ferme… Tu relèves le pan de ma jupe noire… Je t’entends soupirer « t’as un bon cul, salope ! » qui me comble d’aise… Mon cul est fin prêt… Il attend, comme un condamné à mort attend son exécution imminente… Je sens ton gland se frotter sur ma fesse… Il rebondit dessus par à-coups… Tu es en train de me fouetter avec ta queue…
Quel doux supplice…
Moi, je ruisselle de la raie… Et mon petit trou a été bien travaillé…
Il ne te reste plus qu’à me la mettre profond…
Je t’en supplie, baise-moi!… Je l’ai senti passer !… Ton gros gland a forcé le passage…
Il fait partie de moi, désormais…
Je sens ensuite le tronc de ton zob qui pousse dans mon ventre… Le voilà entré entièrement…
Si tu savais comme c’est bon… Tu demanderais à essayer… Mais pour l’instant, c’est toi qui m’encules… Et tu fais ça bien…
Tu me baises comme j’aime…
T’es qu’une brute…
Tu es sans pitié pour mon trou du cul…
Tu me limes comme un chien en chaleur…
D’ailleurs, ils sont parfois comme nous, les chiens en chaleur : ils baisent entre eux…
Putain, tu me défonces !
J’ai mal au cul mais tu t’en fous…
Tu vois ma petite gueule de travelo… Je suis pathétique… Mon visage est déformé par le rut… Le plaisir me rend hystérique…
Salaud !
Baise-moi comme une pouffiasse !
Défonce-moi, bordel !
Encule, encule, encule !
T’as une grosse bite, connard !
Je suis ta pute !
Putain, ramone-moi les tripes ! Plus vite ! Plus fort !
Aïe ! C’est bon, mon salaud !… J’ai les jambes qui flageolent… Tes mains enserrent ma taille fermement… Tu vas de plus en plus vite…
Tu me traites de « sale pute » et de « connasse »…
Mon Dieu ! Je sens ton foutre qui gicle dans mon ventre !
Tu me remplis comme une pompe à essence dans le cul d’une bagnole…
Merci… Merci… Tout ce foutre dans mon cul…
Il coule aussi entre mes jambes et va se tarir dans l’étoffe du string encore à mes chevilles…
Pardon ? Tu dis quoi ?… Que je te nettoie la bite ?
Mais volontiers !
Je vais tout de suite la fourrer dans ma bouche… Miam !
Récit de lailatvx – Bonjour, mon salaud…
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