Sous le charme de la nuit

Il y a quelque temps, j’ai rencontré un homme dans la cinquantaine. Entre nous, une relation s’est construite, faite de complicité et de liberté. Nous nous voyons régulièrement, tantôt chez lui, tantôt chez moi, tout en préservant chacun notre indépendance sexuelle. Mais ce qui rend notre lien unique, c’est notre envie d’explorer ensemble, de pousser les limites du conventionnel. Parfois, nous invitions une ou deux tierces personnes à partager ces moments, grâce à des sites comme Coco, désormais fermé mais d’autres sites répondent au besoin. Cet homme, je l’appellerai simplement « Mon mec ».

Un week-end ou nous sommes partis au Havre, je me suis préparée pour aller diner au restaurant avec mon mec. Je mis une robe pull manche longue en laine douce, à la fois confortable et sexy qui m’arrivait juste au-dessus des genoux. Sous cette robe, je portais une guêpière à petits nœuds rose, avec un string assorti, l’ensemble me procurant une sensation à la fois de confort et de confiance. J’avais ajouté des bas noirs, un petit détail discret mais terriblement excitant qui ne manquait pas de faire ressortir une touche de séduction subtile. Je passais mon manteau par-dessus, et mon mec nous conduisit au restaurant.

Et qui dit occasion spéciale, dit aussi quelques excès. On s’était un peu lâchés sur l’alcool sans basculer dans l’excès total, juste assez pour ressentir cette légèreté agréable, où tout semble un peu plus drôle et les mots parfois plus longs à trouver.

Puis vint le moment de partir. J’avais déjà senti quelques signes de faiblesse en me levant de table, mais en mettant le premier pied dehors, je compris que la marche jusqu’à la voiture allait être une véritable épreuve. Entre les talons, l’alcool et le sol glissant, chaque pas devenait une petite victoire. Mon équilibre était… disons, incertain. Mon mec, amusé par la situation, marchait à mes côtés, prêt à intervenir au moindre faux mouvement.

« Ça va aller ? » demanda-t-il en retenant un sourire.

« Évidemment, t’inquiète pas », répondis-je avec une assurance un peu trop confiante.

Au coin d’une ruelle près de la gare du Havre, un patron de bar était en train de fermer les volets de sa devanture et nous interpellait d’un ton jovial « Ne partez pas comme ça… allez ! un dernier verre pour vous réchauffer. »

Je levais les yeux vers lui. Son regard pétillait de malice, et je crus comprendre pourquoi il nous avait interpellés.

Mon mec lui répondit « Pourquoi pas, un dernier verre ».

Ça tombait bien, j’avais une envie pressante. Nous rentrions dans ce petit bar de quartier très sombre. Deux hommes, visiblement des habitués, étaient accoudés au comptoir devant une bière en train de réinventer le monde.

Le patron, un homme costaud au sourire en coin, terminait de fermer les volets de la devanture. Il revint derrière le comptoir et nous servit à boire.

A mon retour des toilettes et après quelques échanges anodins, le patron lançait, l’œil malicieux : « Je ne savais pas que votre compagne était un travesti, cela ne se voyait pas dans la rue… Jolie plante en tout cas ! »

Les deux compères au comptoir lâchent aussi quelques compliments. Et le patron de renchérir auprès de mon mec : « Il parait que les hommes sucent mieux que les femmes. »

Mon mec lui répondit : « Ah oui, c’est sûr. Qui veut tester ? »

Un des deux compères au comptoir dit « T’es incroyablement bien foutue… Ça envoie du lourd ! » Il marqua une pause, puis ouvrit sa braguette, fit descendre son pantalon et sortit sa queue à moitié molle de son slip.  « Je veux bien vérifier, moi… », dit-il, un sourire aux lèvres.

Je sentais un frisson me parcourir. L’alcool réchauffait mon corps, mon esprit oscillait entre l’excitation et cette petite voix qui me disait que la soirée prenait une tournure inattendue.

Mon mec me fit mettre à genoux devant le comptoir et je me suis retrouvée en train de sucer une queue qui grossissait dans ma bouche pendant que le patron et l’autre homme observaient la scène avec des regards appuyés, leurs sourires complices trahissant une excitation à peine dissimulée. « Hum, je confirme c’est très bon » murmura l’homme. Quelques minutes plus tard, il ajoutait, haletant : « Je ne vais pas tarder à jouir. »

Mon mec, debout à côté de moi, me plaquait doucement la tête d’une main ferme et lançait « Vas-y, remplis-lui la bouche, elle ne recrache jamais rien. » L’homme ne se fit pas prier, il poussa un râle sourd et libéra son jus au fond de ma gorge, tandis que je m’efforçais de tout avaler, comme à mon habitude.

Après avoir bien nettoyé sa queue, le deuxième homme avait déjà baissé son pantalon, sa queue raide et impatient. « À mon tour », dit-il simplement, un sourire aux lèvres. Je me déplaçais pour me positionner à genoux devant lui, et, en bonne salope que je suis, je commençais à le sucer avec entrain. La situation était incroyablement excitante, chaque mouvement, chaque regard échangé s’ajoutait à l’intensité du moment.

Le patron fit le tour du comptoir et s’adressa à mon mec, un sourire en coin aux lèvres : « Moi, c’est son cul que j’aimerais tester. »

Mon mec, sans hésiter, répondit d’un ton détendu : « Pas de soucis, elle ne dit jamais non. »

Le patron vint se positionner à côté de mon mec, qui me releva doucement avant de me faire pencher en avant, me guidant pour reprendre en bouche la queue que je suçais. Je croisais son regard un instant. Il me jaugeait, observant chaque mouvement, attendant de voir jusqu’où j’étais prête à aller. C’était un jeu, un de ces moments où le temps semble suspendu, où tout est possible, où le moindre geste peut tout faire basculer.

D’un geste lent, mon mec glissait sa main sur ma cuisse, effleurant ma peau sous ma robe qu’il relevait progressivement. Il écartait mon string et murmura : « Je vais te lubrifier, chérie. »

Je savais que cette situation l’excitait énormément. Il était déjà dur, et je sentis un flot de salive couler sur ma rondelle avant qu’il n’enfonce sa queue en moi, profondément. « Hum, chérie, que t’es chaude… Hum, que c’est bon », murmura-t-il. Après seulement quelques va-et-vient, il se contractait et jouit en moi, son souffle court et haletant.

Il se retirait de ma chatte et se tournait vers le patron et dit : « Sa chatte est bien lubrifiée, faites-vous plaisir ». J’entendais le bruit de l’emballage d’une capote se déchirer. Le patron se positionnait derrière moi et introduisait sa queue dans ma chatte. Il commençait à me prendre avec une intensité croissante. Pendant ce temps, je m’efforçais de continuer à sucer l’autre homme, sentant sa queue durcir dans ma bouche, prête à exploser. Le patron jouit quelques minutes plus tard, dans un râle bruyant, après m’avoir vigoureusement pilonnée. L’homme que je suçais fit de même quelques instants après.

Le bar retombait dans un calme étrange, le patron était retourné derrière son comptoir, les deux hommes échangeaient quelques banalités avec nous, comme si rien d’extraordinaire venait de se passer. Moi, je restais un moment assise sur un tabouret. Je sentais le poids de leurs regards sur moi, mais cette fois, c’était différent, il y avait comme une forme de respect, une reconnaissance silencieuse de ce qui venait de se jouer.

Après avoir vidé nos verres, nous nous sommes dit au revoir et avons quitté le bar, la porte se refermant derrière nous avec un léger bruit, comme pour marquer la fin d’une parenthèse. L’air frais de la nuit nous enveloppa instantanément, apportant une touche de clarté à nos esprits encore embués par l’alcool et l’excitation.

Le charme de la nuit est passé par là et nous n’avions plus besoin de mots, mais pourtant, nous en échangions quelques-uns. Nous refaisions le film de la soirée, repensant à ces regards, à ces sourires complices, à l’intensité de ce qui venait de se passer.

« C’était un peu… surréaliste, non ? »

Mon mec me regarda, un sourire en coin.

« Un peu, oui. Mais c’est ce qui rendait tout ça excitant. »

Le regard de mon mec sur moi me disait que ce soir-là, le jeu ne faisait que commencer.

Chienne d’autoroute

La semaine dernière, j’ai répondu à un appel sur mon téléphone :

« Bonsoir, dit la voix d’un homme, je souhaite parler à Waloou »

« C’est moi Waloou » répondis-je.

« Je suis Nadir, je suis chauffeur poids lourd. J’ai vu ton numéro sur Wannonce. Je serai ce soir sur l’aire de Vémars Est sur l’autoroute A1. »

Un silence se passe, puis le gars enchaîne :

« Viens à minuit sucer ma bite, espèce de pute »

Je lui répondis :

« Ok, je serai là »

« Ok, salope ! Pas de soucis pour moi. Je dois rester là toute la nuit et j’ai envie que tu me suces, salope, et vide mes couilles pour passer une bonne nuit de sommeil »

Hummmm, le type est chaud comme la braise et ça m’excite. La tentation de sucer la bite de ce routier est si grande, que je me suis bien préparée. J’ai mis des bas résille, un porte-jarretelles, un petit pull pour luter contre la fraicheur de l’automne, un string rouge, des longs gants noirs, une mini-jupe noire, et des bottines à talons. Un beau rouge à lèvres bien marqué, un collier de chienne, et une perruque rousse viennent finir ma tenue de soirée.

Je me suis déplacé vers cette aire d’autoroute que je connais bien, Nadir m’ayant envoyé entre temps les infos pour se retrouver. Lors de mon arrivée sur l’aire d’autoroute, j’ai vu parmi tous les camions garés, la semi-remorque de Nadir qui était là au bout du parking, parquée sous un lampadaire.

Je me suis garée et me suis dirigée vers son camion, la chatte anale trempée d’excitation. Le rideau de la cabine du côté conducteur était fermé, alors j’ai fait le tour. Il a entendu mes talons claquer sur le sol, car il a ouvert la fenêtre et m’a regardé d’un air arrogant.

« T’es une bonne pute. Déplace-toi un peu, sous le lampadaire, que je vois à quoi tu ressembles, salope »

Je me suis exécutée. Il m’a ordonné depuis la cabine à me retourner, me pencher en avant, montrer ma chatte anale. Il m’a ordonné de me retourner et lui montrer mon clito. Le parking était assez fréquenté, mais assez calme vu l’heure tardive. Après m’avoir forcée à m’exhiber dans plusieurs positions indécentes, il est descendu de sa cabine pour me rejoindre. Le type devait avoir la quarantaine, ni mince, ni gros, il avait déjà sa bite raide dans la main et était sur le point de se branler.

« Bonjour Nadir, je suis ta chienne pour te vider les couilles » dis-je.

« Tu as une très belle queue et je veux te sucer ! »

Nous avons fait le tour de l’autre côté du camion afin de nous mettre dans la pénombre.

« Ta gueule salope ! A genoux, salope ! » répondit Nadir.

Je me mis à genou. Nadir m’attrapa fermement la tête et me dit :

« Tu ne parles pas ! »

Il m’attira la tête contre sa queue. Et me laissa goûter sa belle queue avec ma bouche humide, et puis il a poussé ma tête lentement jusqu’à ce que ma bouche enfourne son membre épais et succulent. Nadir était expérimenté et m’a démonté la bouche avec sa queue dure sans jouir. Pendant de longues minutes, il m’a limé la bouche très lentement, puis plus vite et à nouveau plus lentement. Il s’enfonçait parfois très profond et me gardait la tête contre sa queue pendant quelques secondes. La salive dégoulinait de ma bouche, à deux doigts d’étouffer.

« Alors petite pute, tu aimes ma queue ! tu aimes la sentir dans ta bouche de chiennasse ! »

Il me baisait maintenant la bouche avec sa queue dure et brutale. Ses couilles frappaient mon menton. J’avais de la peine à suivre son énergie et les larmes me coulaient. Il avait vraiment envie de me défoncer la bouche à grands coups de reins. Puis, sans doute avant d’exploser dans ma bouche. Il s’est retiré. Il m’a penché en avant pendant que je reprenais mon souffle, puis il m’a mis direct ses deux premiers, puis trois, puis quatre doigts dans ma chatte, et il a commencé à écarter mes entrailles. J’étais contente car au début je devrais juste le sucer, mais ma chatte dégoulinait de plaisir. Ses doigts perforaient mon trou en écartant les doigts comme s’il s’agissait d’un spéculum. Ça semblait plaire à Nadir. Il grognait de plaisir et ma bouche était toute gluante car il avait déjà lâché un peu de liquide pré-éjaculatoire dans ma gorge, et j’avais le goût du foutre dans mon cou et la senteur de sa semence sur mes lèvres. Pendant qu’il s’amusait encore avec ma chatte, j’ai commencé à lui lécher les couilles en cambrant encore plus mon cul comme une salope soumise. Soudain, j’ai entendu une porte de voiture se refermer et quelqu’un venir vers nous.

« Bouge pas sale pute ! » m’ordonna Nadir en gardant ses quatre doigts enfoncés dans mon anus dilaté et trempé. J’ai senti le nouveau type arriver dans mon dos. Je n’étais pas tranquille.

Nadir lui a dit : « Salut ».

L’autre a dû répondre d’un signe de la main, car je ne l’ai pas entendu.

« Si tu veux profiter de cette putain, tu peux y aller. Elle est bonne » Dit Nadir.

Alors le type que je ne voyais pas s’est penché derrière moi et m’a attrapé les couilles, puis mon clito qu’il a tiré vers l’arrière. Nadir continuait à me torturer la chatte anale. Je voulais enlever les mains du nouveau type, mais Nadir sortit ses doigts de ma chatte brutalement et attrapa à nouveau ma tête et se remit à me baiser la bouche rapidement et profondément. A quatre pattes, cambrée en arrière, la bouche encombrée par la queue de Nadir, j’étais à la merci du type qui malaxait mes couilles et tirait de plus en plus fort sur mon clito. Puis l’homme derrière moi a dit quelque chose que je n’ai pas compris. Nadir a ri.

« Si tu veux baiser cette traînée, c’est un vrai garage à bites »

J’avais compris, le type lui avait demandé l’autorisation de me baiser. J’ai entendu que le type derrière moi crachait sur ma fente pour la lubrifier, et m’enfila d’un seul coup et profondément. Le gars n’avait pas une longue queue, elle était large, je sentais les tissus de ma chatte bien tendus, mais il ne me transperçait pas trop loin.

« Alors la petite pute aime cette situation, hein ! » me dit Nadir en continuant à pilonner ma bouche. L’autre cochon faisait de fortes poussées brutales et régulières tout en claquant mes fesses avec ses mains.

« Vas-y, baise-moi cette chienne perverse ! » chuchotait Nadir en se penchant en avant.

Je soupçonne qu’il avait une vue imprenable sur mes chairs défoncées. Il voyait la queue de l’autre inconnu limant ma chatte à grands coups d’aller-retour. J’ai commencé à haleter de plaisir. Ma bouche et ma chatte étaient remplis. Le souffle coupé, la queue épaisse et chaude de Nadir me choquait le palais. Je suçais avec application et goulûment. Le type derrière moi avait complètement pris possession de mes entrailles. Puis sans doute pour éviter de jouir, Nadir est ressorti de ma bouche et m’a donné une gifle en m’ordonnant de sucer ses couilles. L’autre a soudain poussé de toutes ses forces en me tirant le bassin vers lui avec ses deux mains et a gueulé pendant de longues secondes pendant qu’il éjaculait par saccades dans ma chatte. Il semblait avoir des litres de foutre, car il ne s’arrêtait pas de gémir. Puis il a relâché son étreinte et a ressorti son marteau-piqueur de mes entrailles.

« Viens te nettoyer la bite dans la bouche de cette pute » dit Nadir qui bandait toujours comme un taureau.

Nadir se mit de côté et le type inconnu prit sa place. Sa queue sentait la mouille de ma chatte. Sa queue était moins longue que celle de Nadir, mais bien large. Je comprenais mieux pourquoi je l’avais bien sentie écarter ma chatte. Je le pris en bouche et nettoyé sa queue délicatement avec ma langue. Soigneusement, j’avalais les dernières gouttes de son foutre. Sa queue était ramollie. Il se retira et laissa la place à Nadir qui bandait toujours comme un taureau. Cette situation semblait l’exciter énormément. Je sentis que l’autre resta à regarder comment allait se conclure le plaisir de Nadir.

« J’ai partagé ma pute, parce que je sais qu’elle aime, ça la salope ! » dit Nadir en remplissant à nouveau ma bouche avec sa queue et en se remettant à me la limer avec vigueur en me tenant la tête. A quatre pattes, ma chatte dégoulinait du foutre du type qui m’avait enculé. Cette sensation de trou bien dilaté m’excitait encore plus, et je sentis un petit air frais me rafraîchir la chatte. Soudain, je sentis la queue de Nadir pousser profondément dans mon cou. J’étais en gorge profonde. Les larmes me coulaient et j’allais déglutir. Il y avait bien une demi-heure que je suçais à fond. Je me suis préparée à recevoir le foutre au fond de ma gorge, mais Nadir se retira et retint ma tête avant de haleter bruyamment en pulvérisant d’énormes giclées de foutre directement dans ma bouche que j’avais laissée ouverte. Nadir a tenu ma tête pendant quelques minutes. Je me contentais de le sucer tendrement avec des petits coups de langue. L’autre en profita pour partir. Il s’était masturbé en regardant jouir Nadir. Il avait éjaculé une deuxième fois sur mes fesses sans que je le remarque. La queue de Nadir devint flasque. Il me lâcha la tête et me dit :

« Tu es vraiment une putain de chienne bien excitée et docile, toi ! »

Je lui demandai :

« Le type qui est venu me limer la chatte, il était prévu ? »

« Oui, je l’avoue. Je lui ai donné rendez-vous même si j’ignorais s’il allait venir. Tu as aimé salope, non ? »

« J’ai eu un peu peur mais l’excitation était si présente que je me suis laissé faire en pute docile »

Nadir remonta son pantalon qui était resté sur ses chevilles et rangea sa queue sans répondre.

« On peut garder contact, je te recontacterai sûrement lors d’un prochain passage, petite pute ! »

Nadir regagna son camion. Moi, j’avais les jambes qui tremblaient et ma chatte mouillée de plaisir en regagnant ma voiture. J’avais passé au moins 1 heure à quatre pattes, la croupe offerte.