Baise sur un parking

Ce soir-là, je roule, il est environ 20h, il fait doux et j’ai envie d’une bonne bite à me mettre sur la langue ou dans le cul. Comme je ne passe pas loin d’un lieu de drague que je connais, je décide de faire un détour pour m’y rendre, et peut être… trouver ce que je recherche. Je prends le chemin qui m’emmène au parking, et en approchant, je remarque qu’il y a pas mal de voitures déjà garées.

Je me dis, « Chouette, c’est bien parti !! ».

Je descends de voiture et entre dans le bois.

Une nana, la cinquantaine, sur une table en bois en train de se faire baiser pendant qu’elle suce un autre mec. Le mec qui la baise avec fougue m’a l’air pas mal monté, et je m’imagine déjà à la place de la fille.

Plusieurs mecs aux alentours, se masturbent en matant ce spectacle. Le mec en train de se faire sucer doit être son compagnon ou maître car il souhaite que d’autres mecs viennent aussi participer et mettre leurs queues dans la bouche de la fille.

Par expérience je sais que sur ces lieux de drague, il y a une majorité de voyeurs…

En attendant, je me mets avec eux, j’ôte mon short et me branle doucement.

« Putain, j’ai grave envie de me faire prendre le cul. »

Vous imaginez la scène; un mec baise à fond une nana, elle couine, sa bouche suce à tour de rôle deux à trois autres queues… des mecs matent en se masturbant, et moi je vois des queues raides autour sans pouvoir y gouter.

« Mon excitation monte, j’ai grave envie … »

Au bout d’un moment, le mec sort du cul de la « pute » et jouis. Les mecs dans la bouche font la même chose, les voyeurs rangent leur queue et foutent le camp.

Je me dis que c’est le moment d’agir; Mon short étant déjà ôté, je me penche en avant sur un arbre, le cul tendu entre-ouvert et moite. Je me dis qu’il y a bien un mec qui aura envie, après avoir vu cette séance de baise excitante.

Derrière moi un bruit de craquement, c’est deux mecs, un jeune et un plus âgé qui s’approchent.

  • Je dis : « Elle m’a excité cette pute en se faisant baiser comme ça »
  • L’un me répond : « Ouais mec moi aussi je suis excité »
  • L’autre : « Ouais j’ai la queue raide et les couilles pleines »

Le plus vieux pose ses mains sur mon torse et me caresse, le plus jeune s’astique la queue; Une belle queue fine, longue et déjà violacée au bout et des couilles bien pendantes. Je me penche en avant pour engloutir ce joli membre. Le jeune me saisit la tête pour me baiser la bouche. En même temps je sens les mains rugueuses du plus vieux me parcourir de long en large; Il doit apprécier la douceur de ma peau épilée. Tantôt un doigt ou deux effleurent mon anus. Il ne perd pas de temps, il enfile une capote, crache sur mon trou, présente son gland devant l’orifice anal et me pénètre avec violence pour me défoncer le cul.

J’ai deux queues en moi, et je me fais prendre comme une chienne, il est entré dedans comme dans du beurre, j’aime la bite… j’aime sa bite. Il me lime à fond, son ventre est en train de claquer sur mes fesses.

Autour de nous, d’autres mecs sont en train de se masturber en ne perdant pas une miette de cette séance.

Le premier explose dans un long jet épais au fond de ma gorge, suivi d’autres jets moins abondants.

Après l’avoir bien nettoyé pour ne pas en perdre une goutte, je le libère de ma bouche pendant que le deuxième continue de ma labourer le cul. D’ailleurs, il ne tarde pas lui non plus à jouir. Il se retire, jette la capote et remballe lui aussi sa queue.

Après ça, j’ai envie que les mecs qui se masturbent autour de moi me souillent, qu’ils me crachent dessus, me pissent dessus, et éjaculent sur mon cul nu et offert. Un premier, s’approche pour se vider les couilles sur mes fesses, ce qui donne le top départ pour un bon arrosage, mélange de foutre et de pisse.

Grosse fessée pour une chienne

Tant pis, la fessée est interdite en France en 2016, heureusement pas pour tout le monde.

Dernièrement, un mec rencontré par l’intermédiaire d’un site de petites annonces, m’invite à passer un moment chez lui.

Le moment venu, j’enfile une paire de bas, met une petite culotte rose, et enfile une robe légère qui couvre juste mon cul. Je me maquille soigneusement et met des bottes, prends un long manteau et me voilà de sortie.

Après environ une heure de route me voici arrivé devant son lieu de résidence. Je gare la voiture et marche jusqu’à l’interphone en bas de la résidence. Je sonne et une voix m’invite à entrer dans le hall. En attendant l’ascenseur, je m’imagine des tas de choses… Est-il seul ou a t’il invité des potes pour cette occasion.

Arrivé sur le palier une porte s’ouvre et j’entre à l’intérieur de son appartement.

Il me débarrasse de mon manteau et m’offre un verre dans le canapé. Rapidement je me retrouve à toucher sa bite à travers son pantalon. Il se met debout et me demande de me mettre à genoux. Il sort sa bite, je la prends dans mes mains pendant quelques instants, je le caresse doucement, il lâche quelques soupirs.

« Suce-moi, bébé ! », dit-il, « Sois une bonne petite chienne »

Je lèche la pointe de son gland, déjà le pré-cum perle au bout. Mes lèvres alternent entre engloutir entièrement sa bite et passer ma langue sur les veines épaisses de sa bite. Comme d’habitude je suis toute dévouée à faire plaisir à mon amant.

 « Oh chérie ! » gémit-il, « Tu es une bonne petite chienne, j’ai envie de toi »

Il me saisit le poignet pour me lever et m’invite à le suivre dans sa chambre. Il me pousse sur le lit. Il se déshabille rapidement pendant que je le regarde. Il monte sur le lit et me roule énergiquement sur le ventre, puis soulève mon cul jusqu’à ce que je sois agenouillée. Il saisit ma culotte et la fait glisser le long de mes jambes. Je me sens tellement salope avec mon cul nu découvert sous ma robe. Il monte sur le lit derrière moi et je sens son visage entre mes fesses et sa langue commence à lécher mon petit trou. Il me lèche pendant un moment, ce qui me procure énormément de plaisir. En même temps il prend ma bite dure dans sa main, la tire doucement en enfonçant sa langue dans mon trou du cul. « Miam, miam ! » il me baise avec sa langue, et je sens des spasmes d’excitation dans tout mon corps.

Je suis à la limite d’éjaculer dans ses mains, j’halète assez fort.

« Attends ! » me dit-il, « Je veux d’abord te baiser, ma petite chienne ».

A pas mal jouer avec sa langue sur mon trou du cul, ce dernier est assez ouvert et prêt pour que sa bite me remplisse. En bonne chienne j’ai envie d’être prise, je ne contrôle plus mes sens.

« Allez ! » gémis-je, « Donne-moi ta bite ! »

« Oui, ma petite chienne ! » dit-il en poussant lentement sa bite dans mon trou tout trempé.
Il se saisit de mes hanches et effectue un lent va et vient, mais poussant un peu plus profond à chaque fois jusqu’à ce que je sente ses couilles frapper mes fesses.

D’une façon inattendue, il commence à me frapper le cul, ce qui décuple mon plaisir.

« Encore maître ! » Je crie à haute voix.

« Tu aimes ça, n’est-ce pas ma petite chienne ? »

« Oui maître ! »

« Je vais te donner quelque chose pour ne pas oublier que tu es une chienne »

« Oui maître, faites ! »

Il me frappe à nouveau les fesses, mais cette fois, ça me pique vraiment. Je commence à pleurer de douleur et d’excitation. J’attends un autre coup, il arrive quelques secondes plus tard, me faisant crier. Mes fesses sont toutes endolories par ses fessées et ma bite est vraiment prête à exploser. A ce moment je sens son foutre chaud remplir mon intérieur dans de grands spasmes. Après avoir pris soin de bien mettre les dernières gouttes de son sperme dans mon cul, il prend ma bite dans sa main et juste le contact de sa main est suffisant pour faire éjaculer tout mon sperme dans ses mains et sur les draps. Il retire sa bite de mon cul, je me retourne et reprend sa bite en bouche pour bien nettoyer la dernière goutte au bout de son gland.

PrEP – La révolution du barback et du nokpote

Je vais vous parler d’un sujet qui me tiens à cœur car malgré les efforts il y a une recrudescence de nouveaux cas d’infection au VIH.

Un partenaire occasionnel m’a parlé en 2015 d’une étude effectuée par l’agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (ANRS) « Ipergay, la PrEP à la demande ».

Je me suis tout de suite documenté et pris un rendez-vous à l’hôpital avec un médecin pour faire partie de cette étude, car je me suis senti dans la population concernée.

Plus tard, les résultats de cette étude ont montré qu’on pouvait réduire en moyenne de 85% le risque d’infection lors de rapports nokpote, et depuis mars 2016, il me semble …, la haute autorité de la santé (HAS) a donné une autorisation pour délivrer le fameux médicament qui est pris en charge à 100% par l’assurance maladie (la boite de 30 comprimés coute entre 450 et 500 euros). Le protocole de PrEP nécessite un suivi trimestriel : Une consultation de médecin et une recherche en laboratoire (fonction rénale, VIH, Hépatites B et C, Syphilis, Gonocoque, Chlamydia), autant dire peu de chose pour avoir le maximum de chances de son coté pour rester « Clean ».

Je rencontre beaucoup de partenaires et une grande majorité sont fan du nokpote (pères de familles, hommes mariés, etc… ) et ne connaissent pas la PrEP, c’est fou 😥 !!!

Malgré les sorties de AIDES sur les lieux de drague gay (plusieurs fois, j’ai discuté avec des bénévoles de AIDES sur ces lieux), la PrEP est toujours aussi méconnue.

Alors, on baise nokpote, OK, mais la recherche évolue, on applaudie alors il faut aider à la connaissance des nouveaux traitements. N’hésitez pas à faire une petite recherche sur Google ou bien à aller lire l’article qui répondra à vos interrogations sur le site de La PrEP | AIDES

Des questions, on peut en parler ici.