C’est par une chaude soirée d’été, quand le temps le permet, que j’ai souvent envie de me faire baiser par des inconnus.
Avant de sortir, je me suis habillée en pute BCBG, escarpins à plateforme, des bas, un string dentelle, une petite jupe et un top sur un soutien-gorge.
Je prends la voiture et prends la direction de ce lieu de drague assez connu en Seine et Marne (entre la D21 et la D10, pour le situer).
J’arrive vers le parking, je ralentis, je vois une vingtaine de voitures arrêtées.
Je me gare, j’ajuste ma tenue, prends mon sac et descend de la voiture. Je traverse la route du parking, je marche le long de la route pour bien me montrer et j’emprunte un chemin en sous-bois et je m’y enfonce lentement.
Des gars tournent dans les chemins du sous-bois ; normal vu le nombre de voitures.
Je m’enfonce un peu plus dans le sous-bois, la luminosité diminue doucement, et rapidement, plusieurs hommes me suivent. Je sais que les regards sont fixés sur mes fesses.
Mon petit cul mouille déjà et « mange » la ficelle de mon string.
Lorsque j’ai trouvé ma place, c’est un arbre et je me penche en étant appuyée contre lui. Je remonte légèrement ma jupe sur mes cuisses pour montrer clairement mes envies aux mâles.
Un homme passe derrière moi et pose sa main sur mes fesses, remonte au-dessus de mes bas, passe sa main entre mes cuisses sous la dentelle de mon string pour caresser mon clito resté flasque.
C’est fou comme les mecs aiment les trav si elles sont féminines et salopes.
Sa main remonte jusqu’à mon soutien-gorge, il se fraye un passage en dessous pour caresser mes seins avec fougue. Il m’embrasse dans le cou et je palpe sa bite à travers sa braguette. Il bande déjà bien. Il va certainement me décharger une bonne quantité de foutre. J’ouvre son pantalon et je sors sa queue. Elle sent bon, de bonne taille sans être exagérée et je n’ai qu’une envie la prendre en bouche. Je le branle doucement.
– « Elle est bonne ta grosse queue… je vais la sucer, la bouffer à fond… Je vais boire ta liqueur de bite, avaler tout ton foutre… J’aôôôôre ça… toi aussi tu vas adorer ma bouche de pute ».
Sur ces bonnes paroles, je me penche sur sa bite bien dressée et lisse. J’aime les mecs épilés. Je le flatte avec ma langue puis je le lèche comme un esquimau. Je titille son gland. Enfin je l’avale jusqu’au fond de ma gorge et bute contre son pubis. Je ne bouge plus les lèvres, je me contente de l’aspirer.
Il apprécie en gémissant. Il tripote mon petit trou et comme avant chaque sortie je le prépare bien, il y enfonce deux doigts sans difficulté. Il me branle le cul pendant que je le pompe avec vigueur. Je remonte le long de sa hampe puis je replonge avec avidité. Je palpe ses bourses pleines. Il tressaille, il ne tiendra pas longtemps. Un soubresaut et il décharge une longue giclée de sperme au fond de ma gorge. Il y en a trop et je n’arrive pas à tout avaler, son foutre coule sur mon menton. Je fais sa toilette, il m’en a mis partout. J’ai encore très envie et je voudrais même qu’il prenne mon petit trou. Mais le monsieur n’est pas de cet avis… il s’enfuit la queue entre les jambes.
Un autre gars s’approche de moi et me dit :
– « Il t’a bien arrosé avec son foutre ? »
– « Ouiiiii … »
Il soulève directement ma jupe découvrant mes fesses. Il les caresse, les palpes puis me donne quelques fessées assez appuyées.
J’adore !!!
– « Oh Ouiiiii … »
– « Ouvre-toi bien que je t’encule ».
Demandé si gentiment je me fais un plaisir de m’exécuter. Le monsieur est trop gentil… il écarte mon string et plonge sans ménagement deux doigts, puis trois, puis quatre dans mon fondement. Je fais un bond en avant.
– « T’aime ça ma salope… t‘es venu chercher de la queue… du jus de mâle !! »
– « Oh ouiiiiii… je veux que tu me la mettes dans le cul… que tu me défonce !! »
Il se libère et je sens son sexe contre mes fesses. Il retire ses doigts, je reste ouverte, mon anus palpite. Il butte contre mon œillet, il est gros. Son gland rentre sans difficulté, il m’écarte, je me mords les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Une violente poussée et il est entièrement en moi. Il me donne des coups violents. On ne peut pas dire que monsieur donne dans la douceur. Il claque mes fesses tout en me besognant. Je commence à gémir de plaisir. C’est moi qui vais à la rencontre de ses coups de boutoirs. Il me rend folle et s’en rend compte.
– « Ça te fais du bien ma salope… c’est bon de se faire enculer comme une pute… T’aime ça te faire défoncer le cul ».
– « Ouiiiii… ouiiiiii … Vas-y fort, bourre moi l’anus… j’suis une vraie chienne qui veut se faire monter… »
– « Tu vas en prendre plein les fesses de mon jus… »
– « Oui, oui vas-y rempli moi de ton foutre !!! »
– « J’aime les salopes comme toi… branle toi la queue en même temps !!! »
– « Non je veux jouir par le cul avec ta grosse queue qui me défonce ».
– « Oh c’est bon… je vais jouir… je vais cracher mon foutre dans ton gros cul de chienne ».
– « Ouiiiiiiiii… Ouiiiiiiii… moi aussi je viens… c’est fort… vide toi les couilles !!! »
Je pars dans un orgasme délirant. Le monsieur me donne un dernier coup de queue et je le sens se vider et me remplir le cul. Il reste en moi, il est encore gros. Quand il se retire je le sens de nouveau passer… quelle bite. Je reste accoudé à l’arbre tellement je suis comblée. Le monsieur n’est pas plus correct. Sans un mot il remballe tout et s’en va sans même un merci. Je sens mon anus ouvert, et son jus couler sur mes bas.
Des hommes se branlent autour de moi.
Là je commence par en tripoter un, une superbe queue que je prends en bouche.
– « Suce aussi les deux mecs autour de nous »
Ce que je fais sans me faire prier. D’autres hommes étaient là car je sens des mains me tripoter avec plaisir ce qui me rend encore plus chienne et gourmande. Certains jouissent très vite sur moi et d’autres rapprochent leurs queues pour se faire pomper. Je sens des doigts proches de mon cul puis dans mon cul, deux, puis trois, et très vite ce fut une main qui me fiste. Des hommes que je suce goulument crachent dans ma bouche et sur mon visage. D’autres m’insultent, puis je sens un liquide chaud me couler dessus. Un des hommes me pisse dessus, suivi d’un autre, pendant que la main que j’ai dans le cul vient d’être remplacée par une bite que j’apprécie. L’homme sait y faire avec les putes comme moi, et je ne veux pas que cela s’arrête !
Bientôt sa bite crache sa semence en moi et un autre pris rapidement la place ce qui me rend encore plus salope. Je suis recouverte de foutre et de pisse que je sens couler sur mon corps et entre mes cuisses. Lorsque tous ces hommes se sont vidés, je suis repartie vers ma voiture et je suis rentrée rassasiée jusqu’à ma prochaine sortie.