Des bites au sauna

Dans une petite ville de province, un mercredi après-midi ou je peux me libérer de mon travail, je pars me détendre dans un sauna gay.
Après avoir payé les 21€ et récupéré une clé et une serviette, direction le vestiaire pour me libérer de  mes vêtements troqués contre une serviette que je noue autour de ma taille.
Découverte des lieux : Il y a un hammam, deux saunas secs, un jacuzzi, des cabines privées, des compartiments à glory-hole, une backroom, des emplacements sombres dans les couloirs et une petite pièce avec des canapés et un grand écran ou passe une vidéo porno, bref l’équipement que devrait avoir n’importe quel sauna.
Une bonne douche, et préparation de l’anus avec du gel pour ne pas me faire déchirer le cul par le premier homme à me fouiller l’intimité.

Allez hop, direction le hammam.
  waloou_32 Sitôt après avoir passé la porte du hammam, mes yeux n’étant pas encore habitués à l’obscurité, je trébuche plusieurs fois sur des pieds inconnus avant de trouver à m’asseoir sur un rebord en carrelage.
Je me dis, chouette du monde, c’est un signe prometteur.
Peu à peu, mes yeux s’habituent à l’obscurité, et je découvre l’homme assis à côté de moi. Il a une main sous sa serviette et se caresse lentement.
Après un échange de regards, il ouvre sa serviette et je vois sa bite qui bande déjà bien… je comprends qu’il veut que je le suce.
Ni une, ni deux, je me penche vers cet objet de plaisir moyennement long rose et trapu que j’engloutis en entier et je me mets à le sucer doucement en prenant bien soins d’écarter mes jambes pour lui laisser libre accès à mon cul. Pendant que je le suce, je lui masse les couilles avec mon autre main. Mon cul est tout humide de désir. Mon homme, s’y aventure et me mets un doigt. Je gémis un peu et je me mets à le sucer de plus en plus goulument alternant entre sa bite et lui lécher les couilles. Il me masse le cul la chatte et entre un deuxième doigt en elle.
Je suis certain qu’il va vouloir me baiser, il prépare le passage et vérifie probablement la propreté intérieure. Aucun soucis, je me prépare toujours bien le rectum avant mes sorties, je n’ai pas envie de rater une bonne baise à cause d’une propreté intérieure douteuse.

Au bout d’un moment (en effet, il a vérifié que j’étais propre), il me demande si je ne veux pas aller en cabine avec lui, j’ai bien entendu accepté sa proposition.
«Allez, là-bas, nous serons tranquille » dit-il en m’emmenant dans une cabine. Il ferme la porte derrière nous, et sans trop hésiter, il se met derrière moi debout, et pénètre ma chatte très accueillante avec sa bite bien dure, ses mains malaxent mes seins, et il me mordille le lobe de l’oreille.
J’ouvre la bouche et j’écarte les jambes un peu plus pour qu’il puisse être capable de me pénétrer encore plus profondément et il commence des va et vient lents. Son rythme s’accélère est devient plus fort et il pousse à chaque fois un peu plus fort et plus profond dans mes entrailles, je m’élargis peu à peu. Je me branle et ses coups de bites me procurent un orgasme et j’éjacule de grosses giclées de foutre par terre, je gémis et tremble debout, et je peux à peine rester sur mes pieds.
D’un air satisfait, il retire sa bite de ma chatte et me fait m’agenouiller devant lui.
« Viens, ouvre la bouche, je vais jouir sur toi » dit-il, et il se met à se masturber contre ma joue puis explose dans ma bouche. Le premier jet de foutre coule sur ma langue, puis il gicle sur mon visage et mes seins et une fois ses couilles vidées, je prends sa bite dans la bouche pour la nettoyer et sucer goulûment les dernières gouttes de son foutre chaud.
Je le remercie avec un baiser foutreux, puis je pars me prendre une douche rapide et je suis maintenant prêt à faire face à mon lieu de prédilection.

waloou_005Je prends l’escalier pour aller dans la backroom. Je mets ma serviette autour du cou et marche dans cette salle complétement obscure. J’avance lentement en tendant bien les oreilles pour me faire une idée précise de ce qui s’y passe.
J’écoute les sons des hommes qui se déplacent, les sons de succion de bite, les lourdes respirations, les claques sur les fesses, les gémissements de plaisir.
Vous passez par le contact (le toucher) et ça devient étonnement facile de dire s’il y a beaucoup de corps à côté de vous, s’ils sont grands, petits, minces, lisses, musclés ou enrobés.
Bien sûr, c’est très excitant et à force de toucher, de se faire toucher par plusieurs mains en même temps, ma bite molle redevient dure. Mes yeux commencent à s’adapter à l’obscurité, et lentement les formes sont perceptibles, assez vagues mais reconnaissables.
Je donne cinq fellations à des hommes attrayants dans l’obscurité, un seul jouit sous mes coups de langue et un autre me donne quelques jets de pisse dans la bouche que je m’empresse d’avaler. Ces hommes sont des baiseurs en série « serial fucker », et pour réussir à choper le premier orgasme de la journée d’un homme, il faut arriver dès l’ouverture du sauna.
Même pour moi, deux bouches se sont succédé sur ma bite, et sont reparties sans le jus espéré.
Il est délicieux de se déplacer parmi toute cette masculinité excitée, cette moiteur, ces odeurs différentes, ces bites de différentes tailles, affamées ou satisfaites, mais j’ai envie de faire une petite pause bien méritée.

En sortant de la backroom pour aller au bar, je vois un homme chinois mince enlever sa serviette.
Il marche devant moi et nos regards se croisent. Je frôle ma main sur son cul. Un léger sourire m’encourage donc et je fais demi-tour et je le suit dans la backroom.
Nous nous touchons, explorons nos corps, et moi, dos contre le mur, je l’enserre dans mes bras et nos langues se mélangent dans un long baiser.
Il m’embrasse doucement, utilise sa langue bien profondément dans ma bouche, presse sa bite raide contre moi. A tour de rôle nous nous suçons mutuellement, d’autres hommes nous caressent, voulant participer, mais nous ne voulons pas partager ce moment et nous partons nous isoler dans une cabine.
Il prend un préservatif et une dosette de gel, et toujours en m’embrassant, nous nous allongeons sur le lit, moi sur le dos et lui sur moi face à moi. Il a envie de me baiser. Il déchire l’emballage du préservatif, et je lui dis « Tu peux me prendre sans préservatif, si tu le désire ». Il accepte et me pénètre doucement. Je le regarde et nous nous embrassons à nouveau pendant qu’il me baise. Au bout d’un petit moment, sa respiration s’accélère au rythme de son excitation, jusqu’à sa jouissance exprimée par des râles.

Nous restons encore un moment allongés, puis échangeons nos 06 avant de se quitter chacun de son côté.

 

Baise au bois

En une rare journée ensoleillée de ce pourri mois de mai, j’avais envie de bites, je décidais d’aller dans un bois bien connu de la région parisienne de par son activité.

En fin d’après midi, après mon taf, je pris une bonne douche, un bon lavement et je glissais dans le sphincter anal un peu de gel pour bien me préparer l’anus. Je m’habillais en bonne lopette, histoire d’exciter au mieux la gente masculine qui serait présente sur les lieux.

waloou_026J’enfilais une petite culotte rose, une mini jupe noire, une tunique, des bas noirs, mes bottes à gros talons (c’est plus facile pour marcher dans les sous-bois) et un jogging par-dessus pour sortir et faire le trajet discrètement.

J’arrivais sur place, il était à peut prêt 18h, il faisait encore jour, des voitures étaient déjà présentes. Je gare ma voiture sur le petit parking, jette un œil;  quelques hommes faisaient des aller et venues dans les allées et les sous-bois.

J’ôtais donc mon jogging et descendait de la voiture, marchait en direction de la petite colline ou j’avais décidé d’aller m’installer.

En chemin je sentais que j’étais suivi, ce qui me ravissait et m’inquiétait un peu, c’était un sentiment étrange. Arrivé sur la petite colline, je me mis à genou sur un drap de bain que j’étalais dans l’herbe. J’étais observé et les voyeurs sortaient leurs queues et commençaient à se l’astiquer.

Je fis un signe pour qu’un mec ose venir vers moi, et en moins de deux minutes ils étaient deux ; puis trois autour de moi à me tendre leur bite à sucer.

Ca m’excitait de plus en plus. Les mecs plus loin continuaient de se branler et moi je suçais à tour de rôle les trois zobs. Un des trois mecs ôtait ma culotte et commençait à me toucher ma petite bite qui mouillait déjà bien et me l’englouti en bouche; c’était très doux et j’étais obligé de le freiner un peu, sinon j’allais jouir très vite.

Entre temps, d’autres voyeurs se sont rapprochés et un d’eux voulu me baiser à 4 pattes, offert à la vue des vicieux. Je me sentais totalement impudique et j’adorais ça… Après m’avoir ouvert le cul et y avoir inséré plusieurs doigts, qu’il faufilait bien partout, il mit un préservatif et me rentrait son pieu comme dans du beurre, tant j’étais excité de cette situation en plein air. Il commençait par de grands mouvements lents qui s’accéléraient progressivement.

Les voyeurs se sont un peu rapprochés, la nuit n’était plus très loin. Je les voyais se masturber frénétiquement, puis ils se le faisaient mutuellement.

J’entendais des mecs crier « Défonce-là, bourre son cul, baise la salope ».

L’homme derrière moi me baisait de plus en plus fort. Il haletait, je sentais qu’il allait cracher son foutre, et moi je suçais, branlais tant que je pouvais les deux, trois ou quatre queues présentes. L’une d’eux m’explosait son jus épais en pleine bouche et je sentais que l’homme derrière moi déchargeait sa semence dans la capote.

Il se retirait, jetait  la capote et me présentait son membre pour que je le nettoie des restes de sperme. Un autre que je suçais pris le relais mais en m’allongeant sur le dos… Je relevais et écartais bien les jambes, la chatte anale bien offerte. Il enfilait une capote et plantait son pieu dans mon intimité luisante et chaude. Ses coups de boutoir de plus en plus rapide massaient ma prostate ce qui me faisait jouir du fion, un filet de liquide séminal coulait de ma queue molle.

J’entendais des mecs dire : « elle jouit, la salope, elle aime la baise, elle aime la bite, ça se voit ! »

Dans cette position il était difficile de bien sucer les queues qui se présentaient, les mecs se branlaient sur ma tronche, tantôt l’un ou l’autre me baisait la bouche.

L’homme en missionnaire ne tardait pas à jouir en moi en longues saccades, et presqu’en même temps les autres queues se vidangeaient sur mon visage.

Après avoir repris mes esprits, je rassemble les restes de sperme en passant ma main sur mon visage, et en léchant mes doigts avec délectation.

Un des voyeurs au loin s’était rapproché en se masturbant et voulait se finir sur mes fesses que je lui tendais. Après quelques râles je sentis des petites giclées chaudes sur mon sillon anal. Les autres voyeurs avaient déjà déchargés leur foutre au sol ou ailleurs.

Je remis ma culotte et en repartant vers ma voiture, je sentais le sperme coller le nylon sur mes fesses… Agréable sensation de cette fin d’après midi.