Mes dernières expériences se limitent ces derniers temps à sucer et me faire baiser lorsqu’une occasion réelle se présente.
Ma dernière lubie en date est la zoophilie, découverte il y a environ un an. La vue de ces queues canines et chevalines tendues à l’extrême et fourrageant ces bouches et ces anus me met dans un état d’excitation avancé.
Il y a quelques jours, je fus comblé…
J’ai fait la connaissance d’un homme, cultivé et sympathique, avec qui je me suis lié d’amitié.
Il possède une petite maison à la campagne et au fil de nos discussions, il m’invita naturellement à venir passer une journée chez lui, prétexte à un bon repas et une bonne discussion.
J’arrivais vers onze heures chez lui, dans un petit paradis isolé. Il m’accueillit avec plaisir et une franche accolade. Il me fit visiter sa demeure, le jardin et me présenta sa fierté, Elvis un beau rottweiler de deux ans et demi.
Nous passâmes à table, pour un fort bon dîner copieusement arrosé, il en va de soi.
Après le repas, je pris un peu l’air, histoire de faire passer mes vapeurs d’alcool.
Pendant ce temps, mon hôte mis des chaussettes aux pattes d’Elvis et m’appela pour me dire qu’il était prêt. Je revenais dans le salon et mon hôte me dit de me dévêtir.
Ivre de sensations, je me dévêtis rapidement, le sexe tendu, prêt à exploser et je me mis à 4 pattes, et, sous l’effet de l’alcool, je réclamais finalement à me faire baiser comme une salope!
Le moment était enfin arrivé! Elvis tournait autour de moi et la vue de la taille du sexe entre les pattes de l’animal fixa mon attention! Quel engin!
Mon hôte sembla remarquer mon trouble mais ne dit rien. Il parlait à Elvis, nous mettant en confiance mutuelle, touchait au fourreau d’Elvis, d’où commençait à émerger une queue monumentale!
Je salivais d’avance!
Mon hôte caressait le flanc d’Elvis d’une main et pris l’engin dans l’autre et le dirigeait vers mon anus déjà tout lubrifié, puis le poussant au plus profond de mon intimité.
Je sentais cette bite énorme grossir en moi et je savais qu’Elvis allait verrouiller cette saillie.
La sensation de cette queue qui me ravageait les entrailles, les flots de sperme chauds qui m’inondaient me faisait gémir de plaisir et mon sexe se tendait, prêt à exploser. Je bandais comme rarement dans ma vie.
Mon hôte me fourra sa bite énorme dans ma bouche pour faire taire ces râles de plaisir et je me mis à le sucer avec avidité, ce qui n’eut pas l’air de lui déplaire! J’aspirais avant tout à le faire jouir pour en prendre le plus possible. Son gland tapait contre le fond de ma gorge, et je sentis à ses grognements de plaisir que j’allais étancher ma soif…
Une énorme giclée de sperme chaud et épais vint éclabousser mon palais, et j’avalais tout sous l’effet de la surprise mais surtout de la gourmandise!
J’en eu le souffle coupé et j’ai joui instantanément, mon foutre allant gicler sur le carrelage du salon.
Elvis continuait à me remplir royalement pendant de longues minutes, puis se retira d’un coup de mon cul, me laissant la rondelle bien ouverte ruisseler le trop plein de semence le long de mes cuisses.
Mon hôte me tendit le sexe d’Elvis que je me mis à sucer pour le récompenser de la longue saillie et de l’extase reçue, ce qui me refit bander.
Mon hôte le constatant, entreprit de me sucer, prenant soin de bien nettoyer le sperme encore présent de ma précédente éjaculation.
Le résultat ne se fit pas attendre! J’explosais à nouveau, lui inondant le visage et la bouche.
Quel pied j’ai pris ce jour là !