Jean-Phili-Pine

Bonjour Waloou,
Ce message pour te remercier pour ton site. Sa découverte a été une révélation pour moi.

J’ai 56 ans, grand(e), encore bien foutu(e). J’ai été marié, j’ai vécu avec plusieurs femmes mais depuis toujours je sais que je suis gay. J’ai eu beaucoup d’aventures extra conjugale avec des hommes, toujours comme soumise.

Depuis 3 ans, je vis seul et baise beaucoup en club, en forêt. J’ai besoin de bites à sucer, de me faire dilater, défoncer. J’adore être rabaissé, insulté, humilié. Après mes baises de plus en plus hard, je culpabilisais souvent.

Mais pourquoi je suis comme ça alors que dans ma vie quotidienne, professionnelle, les gens me voient plutôt comme un Alpha, un dominant. C’est grâce à toi que j’ai compris. Pour le lâcher prise que cela procure, l’abandon que cela nécessite. Devenir un objet sexuel, ne plus rien contrôler pour quelqu’un qui veut tout contrôler. Waloou tu m’a libérée. Grâce à toi j’ai compris que mon bonheur était dans l’abandon. M’offrir à tous les mâles qui on besoin de se vider les couilles. Les servir. Prendre leur semence par mes 2 orifices. Encore grâce à toi, j’accepte ce que je suis vraiment au fond de moi. Une lopette, une tapette qui adore donner du plaisir aux hommes. Tous, jeunes, vieux, français, arabes, macho voir très macho de préférence.
J’adore aussi, comme toi bien me préparer. Être une bonne Sissy, on imagine pas le temps que ça prend. Je suis toujours bien épilée, ma chatte toujours propre  lavement obligatoire et en plus ça dilate bien), parfumée au Chanel (les mecs adorent) avant de me faire souiller. J’adore ça me sentir souillé, rentrer chez moi ou à l’hôtel en sentant le foutre et la pisse à 100 mètres à la ronde.
Et après, la douche, c’est le nirvana. Apaisée, heureuse d’avoir donner du plaisir et d’avoir été traitée de sale pute, traînée, connasse, sac à foutre. J’adore!!! Je suis ça et je l’accepte. Et toujours grâce à toi, je le revendique même. Qu’y a t’il de plus beau que de donner du plaisir à quelqu’un? Servir à ça. J’assume tout ce que j’ai écrit mais je ne suis pas complètement dingue pour autant. Je suis très attaché à l’hygiène et à la santé. Pour info je suis, comme toi, sous PrEP ce qui me permet de prendre du jus d’homme à volonté sans risque.
Je profite de ce témoignage, ma Chère Waloou, pour passer une annonce. Je suis de Rennes et je cherche mon BoyFriend. Il devra être mur, la cinquantaine et plus, évidemment attiré par notre univers, doux aux idées dominatrices et perverses. C’est pour du sérieux. Je dois pouvoir lui faire une confiance totale afin qu’il m’emmène dans les plus bas fonds de mon âme. Donc, entre salopes, si tu pouvais faire le « go between ». Oh pardon, nous les Lopettes, nous devons être idioties et stupides, nous le sommes mais pas que!!!

Tu peux diffuser mon témoignage, ma Chérie, si tu le souhaites.

Milles merci.

Jean-Philippe/ Jean-Phi qui aime la Pine

Récit de lailatvx – Karim

Karim s’attendait à tout lorsqu’il a décidé de participer à cette soirée libertine, avec Nadia, sa superbe épouse âgée de 28 ans. Tout sauf y rencontrer Malek, son pire ennemi, venu en célibataire.
En effet, un soir, Karim a surpris Fatima, sa première épouse, au lit avec lui. Il lui semble encore entendre jouir sa femme sous les coups de queue de Malek, il revoit le sperme s’écouler de sa bouche, suite à une pipe. Il entend Fatima crier son prénom, faire des comparaisons sur ses performances au lit, mais aussi sur ses mensurations plus imposantes que celles de son mari. S’en suivit alors un divorce.

Nadia ne connaît pas trop le rival de son cher époux Karim (moi, lailatvx sur le net). Elle le sait dragueur, toujours à l’affût de la moindre conquête, même mariée. Elle le trouve très séduisant, mais ne veut surtout pas tomber entre les filets de ce pervers qui n’attend qu’une chose, humilier Karim en baisant sa deuxième femme. Les époux savent que, lors de cette soirée, tout est permis et que s’ils ne joueraient pas le jeu, ils en seraient exclus.

Vers minuit, des couples se forment, s’embrassent, les mains fouillent sous les jupes, ou par-dessus le pantalon. Le DJ a l’ingénieuse idée de mettre une série de slows. Et ce qui devait arriver, arriva. Malek se lève et invite Nadia à danser. Celle-ci le rejette, mais devant les regards des autres partenaires, difficile de refuser sous peine d’être exclu de la soirée. Nadia interroge son mari du regard sur l’attitude qu’elle doit adopter. Il lui fait signe de la tête qu’elle n’a d’autre choix que d’accepter. C’est la mort dans l’âme que Karim voit son épouse gagner la piste avec son pire ennemi. Nadia garde ses distances, résiste tant bien que mal à la pression de la main sur le bas de ses reins qui la plaque inexorablement contre Malek.
Une fois la danse terminée, Malek l’invite au bar. Très vite, Nadia va succomber au charme de ce séducteur. Elle ne voit pas son mari, certainement occupé ailleurs. Mais non, Karim, méfiant, surveille sa femme, mais ne se doute pas de ce qu’il est en train de se passer, masqué par une rangée de couples. Malgré tout, Il voit la tête de son épouse. Il la voit fermer les yeux, passer sa langue sur ses lèvres, puis ouvrir la bouche. Il ne voit pas Malek, et pour cause. Celui-ci, accroupi, a quitté la culotte de sa femme, lui a écarté les jambes et lui lèche la chatte.
– Tu es fou, qu’est-ce que tu me fais ? Souffle-t-elle

Karim comprend tout quand il voit Malek se lever, s’essuyer la bouche d’un revers de main, puis quand il voit son épouse lui donner un tendre baiser. Au second slow, Nadia est beaucoup plus détendue. Karim voit Malek la tenir par la taille, tandis qu’elle noue ses bras autour de son cou. Il lui murmure à l’oreille, parvient à la faire rire. Il ressent un pincement au cœur quand il les voit se donner un sulfureux baiser.
Le couple se retourne et voit Karim, les bras le long du corps. Nadia hausse les épaules, comme pour dire « je n’ai pas le choix » alors que Malek affiche le sourire narquois de celui qui est arrivé à ses fins.
Le couple va s’installer sur un canapé. Malek appuie Nadia contre le dossier et lui donne un baiser. Une main s’invite sous la jupe, force la jeune femme à écarter les jambes. Karim voit le doigt de son éternel rival caresser la fente épilée de sa ravissante épouse. Ce dernier ouvre sa braguette et sort un zob énorme, accompagné d’une paire de couilles hors norme. Karim se sent complexé devant l’anatomie de son pire ennemi. Malek guide la main de Nadia pour qu’elle saisisse sa queue. Après quelques vicieuses caresses, il entraîne l’épouse derrière un rideau où se trouve un salon avec un lit. Après quelques minutes, la curiosité l’emporte. Karim écarte le rideau, découvre le pire : sa femme est allongée, entièrement nue, jambes totalement ouvertes. Malek, un genou sur le lit, est nu lui aussi. Il arbore un zob en érection de presque 22 centimètres !

Malek voit le rideau bouger et aperçoit Karim. Il décide alors de l’humilier. Lentement, il parcourt le corps magnifique de Nadia qui commence à frémir sous les caresses. Il excite le clitoris décalotté, les doigts pénètrent la chatte. Nadia soupèse les couilles, tire à elle la bite qu’elle avale. Son corps se tord tout en taillant une pipe à l’homme qui la fait gémir de plaisir. Malek tend sa bite qui se branle dans la bouche de Nadia, tandis que celle-ci se cambre sur ses pieds. Ensemble, ils hurlent de plaisir.
Karim, impuissant, assiste à la scène. Il voit le surplus de sperme suinter sur les lèvres de son épouse.
-Houa…Quelle pipe…Oh putain…Tu suces mieux que son ex…Et tu avales aussi…salope !
-Et toi salaud, soupire Nadia, comme tu m’as excitée ! J’ai besoin d’un bon coup de queue maintenant, par un vrai calibre, bien gros, bien raide, pas par un zizi de bébé comme celui de mon mari !

Karim voit l’énorme zob pénétrer la chatte pleine de mouille de son épouse. La relation est torride. Très vite, Nadia a un puissant orgasme, hurle de plaisir sous les coups de boutoirs de son partenaire. Malek sent la femme de son pire ennemi à sa merci, multiplie les prouesses sexuelles pour la faire jouir à plusieurs reprises en présence du mari cocu. Il lui demande même de comparer les mensurations de leur sexe.
-Tu trompes ton mari là…Tu aimes te le faire mettre par une grosse bite…Il ne te baise pas comme ça, hein ?
-C’est vrai…tu me niques mieux que lui…tu es beaucoup mieux monté…vas-y, encule-moi s’il te plait !
-Bien sur ma chérie, attends, je vais m’asseoir et tu t’empaleras sur mon pieu.
Malek choisit cette position car il sait que Karim mate derrière le rideau. Il veut qu’il voie comme il lui caresse les seins, comment son zob coulisse dans la chatte de sa femme. Soudain, le rideau s’ouvre.
-Tiens, sourit Malek, de la visite… Mais c’est le cocu …Regarde comme j’encule ta femme comme ton ex !
-Mais Nadia, mon amour, ma chérie, que fais-tu ?
-Oh mon chéri, je me fais enculer. Il a une queue phénoménale ! Approche ! Viens me sucer le clitoris !

Soumis, Karim s’avance, se penche entre les cuisses de sa femme et aspire le petit bouton décalotté. Soudain, c’est la surprise pour Karim. Sa femme sort la bite de son petit trou et l’enfonce dans la bouche ouverte de son mari, juste au moment où Malek éjacule. Elle tient la tête de son cocu pour que celui-ci avale l’abondante semence de son pire ennemi.
-Ouais…vas-y mon amour, mon mari cocu, mon époux pédé, déguste le sperme de mon amant !…c’est bon, hein ? Il va falloir que tu te soumettes à ses caprices maintenant ! Dorénavant, tu seras mon mari cocu, soumis et même travesti ! Plus jamais, tu n’auras droit, ni à ma chatte, ni à mon cul ! Mon corps appartient désormais à Malek !

Malek éclate de rire. Il veut aller plus loin pour humilier son rival. Il murmure à l’oreille de Nadia.
-Mais bien sûr que tu pourras le sodomiser, sourit-elle…Tu vas voir comme il va être docile, n’est-ce pas chéri que tu vas être sage et obéissant ? Tu vas bien te le faire mettre et te sentir femme comme moi ! Et si nous rentrions à la maison ?

Arrivée chez eux, Nadia va prendre une douche. Elle entend son mari hurler de douleur :
-Aïe ! Aïe ! Chérie, l’enfoiré…Il m’encule…Dis-lui d’arrêter…Sa bite est trop grosse pour mon cul ! Il va me déchirer la chatte !
-Mais non ma lopette, c’est vrai qu’il est beaucoup mieux monté que toi…mais, après quelques coups de queue, tu vas t’y faire. Il a toute la nuit pour jouer avec toi. Tu vas voir comme il va te régaler ! Il va te décalotter le zizi, te le branler, te vider tes petites couilles. Puis, une fois qu’il t’aura bien enculé, il me rejoindra pour m’offrir son gros zob ! Mais tu pourras regarder comme il me fait jouir…Comme il me fait crier de plaisir… Comme je lui taille des pipes, comme j’avale…Ah oui…Autre chose, à partir d’aujourd’hui, je veux que tu l’appelles « Mon Chéri, Mon Maître ».

Tous les week-ends, Malek passe niquer Nadia, devant Karim. Il l’entend jouir, crier de plaisir. Karim le cocu a droit, aussi, à son petit coup de zob dans le cul, c’est même lui qui supplie son rival en l’appelant : « Mon Chéri, Mon Maître » pour qu’il lui donne sa dose. Malek prend plaisir à l’enculer, ou à se faire tailler des pipes. En plus, il l’oblige à avaler…

FIN

Récit de lailatvx – Ma femme Chantal aime les blacks

Très vite, dès ma rencontre avec Chantal qui allait devenir mon épouse adorée, j’ai constaté son attirance pour les hommes de race noire.
Après notre mariage, ce penchant s’est manifesté de plus en plus souvent.
Regards appuyés, complicités avec nos amis, sourires rendus à des inconnus rencontrés dans le train, le métro. Tous noirs ! Sans devoir être une addition, cela semblait devenir une dépendance, au point que je me posais des questions sur sa fidélité.
Toutes ces manifestations n’étaient pas sans me plaire car j’aimais que Chantal soit désirée par d’autres hommes que moi.

Cette année là, nous étions en vacances. Un marché de nuit, très fréquent en été, se déroulait près de notre résidence. Nous avons décidé d’y aller. Beaucoup de lumière, de monde et de multiples stands qui proposent des objets plus inutiles que nécessaires. C’était hier soir et les souvenirs sont encore bien nets dans ma mémoire.
Il faisait très chaud et Chantal portait son short blanc crème de coton, sexy car très court, évasé au niveau des cuisses. Il lui moulait les fesses sans vulgarité. Elle avait accepté de ne pas mettre de culotte en dessous. Pour le haut, un tee-shirt orange en lin très fin qu’elle portait sans soutien-gorge. Inutile de dire qu’on n’avait aucune difficulté à constater que ses seins étaient nus dessous. Des bretelles laissaient dégagées ses épaules et les échancrures sous les bras laissaient voir le flan blanc de ses seins. Ses jambes nues étaient mises en valeur par des sandales de toile à lacets avec des demi talons. Elle était superbe et bien des regards se posaient sur elle, détaillant ses formes que l’allure de sa démarche légèrement chaloupée, rendait encore plus sexy. De nature assez réservée, elle avait accepté cette tenue pour me faire plaisir, mais aussi devant le contexte de cette soirée.

Nous sommes arrivés, au détour de notre promenade nocturne, devant le stand d’un africain proposant de multiples produits comme des sacs, des ceintures, des pochettes… Un grand noir nous a tout de suite repérés et sans attendre, nous a entrepris dans un accent très marqué. Il était d’une couleur de peau noire ébène très foncée avec une peau lisse et brillante par endroits. Il avait de grosses lèvres qui découvraient des dents très grandes et blanches. Ses yeux aussi étaient noirs et brillaient au centre de ce visage noir. Il était très beau et, sous sa tunique bleu clair, on devenait un corps d’athlète. Chantal le dévorait des yeux.
Tout de suite, il a senti qu’il plaisait à ma femme et charmeur, il lui a fait son boniment, redoublant de compliments sur sa beauté sexy. Surtout qu’à ce moment de la nuit, une petite fraîcheur faisait pointer ses tétons nus. Chantal était subjuguée et ne le quittait pas des yeux. J’en éprouvais quand même une forte jalousie qui devait rapidement se transformer en excitation.
Je ne sais pas encore pourquoi mais je décidais de m’éloigner pour surveiller ce qui m’apparaissait de plus en plus comme leur flirt.

Revenu une dizaine de minutes après, la situation n’avait pas changé sauf que Chantal riait sans retenue à ce qui ressemblait de plus en plus à une relation de séduction. Sans me manifester, je décidais de surveiller à distance l’évolution de leur comportement. Je me trouvais un poste d’observation pour mater sans me faire repérer.
Chantal ne semblait pas du tout se préoccuper de mon absence. Sous le charme du grand black, je n’existais plus. Je surveillais le moindre de leurs gestes.
A un moment, il leva une main et lui caressa la joue avec douceur. Sa main noire sur la peau blanche de Chantal était du plus bel effet. Ma femme le laissa faire. Sous la tunique, en regard de son sexe, une bosse se dessinait clairement, ce qui n’échappa pas longtemps à l’attention de la jeune femme. Il bandait, elle matait !
Elle lui portait un regard de femme séduite, soumise. Je me mis à bander à mon tour. Jalousie et perversion. S’il était beaucoup plus grand qu’elle, il la dominait de sa taille mais également de sa personne.
Soudain, je le vois qui lui prend la main et l’entraîne vers l’arrière de son stand. Ils disparaissent de ma vue. Je panique, je veux voir, je suis mort de jalousie et d’excitation. Ce regard de Chantal pour son flirt me laissait imaginer le pire.
Je me déplaçais, contournais le stand. Je paniquais car je n’arrivais pas à les voir. Je finis par repérer, pas très loin, un monticule de terre qui pourrait me permettre de voir du dessus. Je m’y précipitais.

Quand je les vis, il lui avait pris le visage de ses deux mains et l’embrassait pleine bouche. La position de leurs têtes ne me laissait aucun doute qu’ils devaient s’embrasser d’un profond baiser, mêlant leurs langues. Le baiser dura plusieurs minutes avant que le noir ne déplace ses mains vers les seins de mon épouse dont les pointes érigées marquaient son excitation. Il s’en saisit entre ses doigts pour les faire rouler et exciter encore plus la femelle. Sa femelle !
Abandonnant la poitrine, ses mains s’emparèrent des fesses pour l’attirer contre lui. Elle devait à cet instant sentir son érection et je devinais son trouble.
Chantal gardait ses mains le long de son corps, passive. On devinait bien qu’elle avait envie de toucher ce corps devant elle, mais qu’elle n’osait pas ! Intimidée. C’est l’homme qui lui prit les poignets pour les attirer contre son ventre, là où la bosse se faisait encore plus grosse. Tout en continuant de l’embrasser, il releva sa tunique pour découvrir son sexe enserré dans un slip. Chantal, alors, avança ses mains et fit sortir cette queue qui m’apparut énorme. Noire, dressée, dure. De ses deux mains, elle empoigna cette bite et se mit à la branler contre son ventre, lentement d’abord et de plus en plus vite. A la clarté des lumières, elle brillait de ses sécrétions quand les doigts décalottaient son gland. L’homme était également très excité. Leurs bouches restaient soudées. Par moment, elle s’écartait de lui pour contempler la queue de son amant, puis aussitôt, elle lui offrait à nouveau sa bouche à baiser. Lui, palpait les fesses au travers de son short. Ils étaient de profil, ce qui me permettait de bien voir ce qu’ils faisaient. J’étais mort de jalousie, une bile amère jaillit de mon foie et me brûla la bouche. Je bandais tant j’étais également excité ! Je ne pus m’empêcher de sortir ma bite et de me faire jouir en matant ma femme me tromper avec un inconnu.

Puis je le vis poser sa main sur sa tête, comme pour une bénédiction. Je la vis se baisser, s’agenouiller devant lui sans la moindre hésitation. Elle acceptait de lui faire une pipe ! Ensuite, elle remua sa tête d’une façon qu’il ne laissait aucun doute sur ce qu’elle était en train de faire. L’homme regardait vers elle, ses mains dans ses cheveux pour la maintenir contre lui. Elle s’appliquait à lui donner du plaisir. Je suivais les mouvements d’avant en arrière de sa tête qui s’activait sur la bite du noir.
Soudain, il leva la tête, regarda le ciel, crispa ses mains sur la chevelure de ma femme pour la maintenir contre son ventre. Il ferma les yeux et je devinais alors qu’il devait éjaculer dedans cette bouche que je connaissais tant, et que maintenue de cette manière, elle n’avait d’autre choix que d’avaler cette semence pour la garder en elle. Je jouis aussi à mon tour.
Repus, il la laissa se relever. Je la vis qui s’essuyait la bouche de sa langue. Il lui sourit et posa un baiser chaste sur ses joues et lui adressa un large sourire de ses dents blanches.
Ils regagnèrent le devant du stand.

Seulement alors, Chantal s’inquiéta de mon absence. Tous les deux fouillèrent la foule du regard, à ma recherche. Je restais caché quelques minutes, puis rejoignais le stand. Chantal me sourit gênée. Je remarquais des tâches de foutre sur son tee-shirt au niveau de sa poitrine. Elle n’avait sans doutes pas pu tout avaler du jus de son amant. Plus bas à la taille, d’autres souillures devaient provenir du gland qu’elle avait branlé contre elle. Après quelques mots échangés avec son amant du moment, nous avons pris congé, pour reprendre notre ballade, bras dessus, bras dessous comme deux amoureux.

Une folle envie m’obsédait : l’embrasser. Je sentais bien cette odeur de foutre qui se dégageait d’elle. N’y tenant plus, je l’ai prise dans mes bras pour l’embrasser. Son premier geste a été de se refuser. Mais comme j’insistais, elle m’offrit ses lèvres, sans grande conviction. Je sentis le goût du sperme de son amant très fort encore ; je forçais ses lèvres pour y introduire ma langue. Je voulais boire la semence de cet homme qui s’était déversé en elle. Elle résista mollement mais finit par ouvrir sa bouche. Elle haletait, excitée. Cette situation nous excitait tous les deux. Le goût du sperme du black était fort, présent encore dans sa bouche. Je passais consciencieusement ma langue dans les moindres recoins de sa bouche pour récolter tout le jus de son amant. Je continuais jusqu’à la sentir jouir dans mes bras. Je voulais moi aussi avoir en moi cette liqueur de vie que Chantal avait recueillie à la source de cette bite toute noire.

FIN